Il vaut mieux être parfaitement concentré lors de free ride. Contrairement à d’autres sports collectifs où le dialogue, l’échange est inévitable, d’une certaine manière, l’exaltation, le caractère autistique, la concentration durant l’évolution, l’instinct, le subconscient, l’attention, sont complétement mobilisés pour parvenir à réaliser les manœuvres prévues ou espérées. C’est radical, vous devenez en respectant ce principe d’investissement un rideur à part entière. Et que vous le vouliez ou non, l’instant va décider, dans une spatialité, une identité, la vôtre, le spot que vous avez choisi, le temps prévu. C’est un bonheur absolu de pouvoir se consacrer à part entière à son sport, devenant plus qu’un bol d’air, mais véritablement un mode de vie. Faire appel à ce type de ressource dans votre propre identité d’après l’expérience, démontre là ce que l’on peut nommer un grand équilibre de vie. Pleinement présent dans sa ligne…
Catégorie : Attitude
Park feelings
La différence entre style libre, et évolution libre, freestyle, freeride, se conjugue sur un terrain délimité, de genre stade de foot, mais défini pour le style de vos objets roulants identifiés ou non, sur les modules. Vous le saviez déjà, toutefois, ici le comparo entre le focus sur la balle et le focus sur soi-même vous équipe de votre skate, trot’, rollerblade… Terrain limité, concentration en groupe, ambiance. Il est rare d’être seul en park. Alors que le but est de scorer au foot, le but est d’être meilleur en free-style, s’améliorer. Les règles du foot ? Connues de tous et toutes, et les règles du park ? Une question de standing, d’atmosphère, de compréhension, d’intuition, de respect, d’effort et de pratique. Je dirais même French Flair et Fighting spirit dans le même mouvement répété avec application. Alors que le jeu se déplace sur tout le terrain de foot, un park harmonieux est exploité en théorie, partout, en fonction de vos capacités, et non pas en fonction de votre poste. Oui, la créativité, la liberté dans un environnement défini, le dialogue avec les autres rideurs mérite toute votre attention comme seule règle valable. Un peu comme dans la vraie vie, avec les gens que l’on rencontre tous les jours, partout. Le feeling du park, dans un regard…
Danse inline
La liberté de mouvement se trouve particulièrement amplifiée grâce aux rollers, les roues de vos patins étant totalement libres, elles donnent une instabilité qui va engendrer pour certains d’entre nous des crispations et parfois même une crainte tenace. Aussi, prenant l’exemple de la danse, vous noterez qu’il convient de libérer son corps au rythme de la musique, chaque musique étant propice à une expression corporelle différente. En roller, les terrains, ou les types de patins proposent également ce même type de besoin à désinhiber son corps, ses mouvements corporels pour pouvoir non seulement être en sécurité, mais aussi pour parvenir à trouver du plaisir dans le mouvement. Toutefois silencieuse, la proprioceptivité de votre évolution devra s’épanouir, se décupler, s’amplifier, s’extérioriser à cause des roues libres, mais aussi trouver son propre style et sa fluidité pour parvenir, pourquoi pas, à pratiquer la rampe ?
Slow assure
Pour ce qui concerne les débutants du roller ou celles et ceux qui sont apeurés à l’idée de pratiquer et naturellement, de tomber, je préconise plusieurs exercices destinés à générer sa propre assurance dans l’équilibre, mais également sa capacité à enregistrer un contact au sol qui ne soit pas générateur de blessure. Car oui, il est possible de toucher le sol sans forcément se blesser. Et ceci dépendra de votre réactivité, votre musculature, mais aussi des protèges poignets qui seront sollicités, par réflexe. Tout d’abord, un exercice simple consiste à s’assoir par terre sur le goudron pour essayer de se relever sans utiliser ses mains depuis le sol. Cet exemple de travail musculaire va en étonné plus d’un, parmi celle et ceux qui ont totalement perdus leur liaison au sol. En effet, les chaises, fauteuils, canapés, bancs, tabourets, tout est toujours à hauteur dans notre société occidentale, et préserver sa liaison au sol avec cet exercice à renouveler plusieurs fois sera stimulant pour votre musculature proprioceptive d’équilibre, les membres supérieurs étant dédiés à la balance au mouvement lors de cette manœuvre. Un deuxième point, s’entrainer à marcher le plus lentement possible. On marche toujours très vite, avec des roulettes, il est inutile de garder le même tempo. Bonne session à toutes et à tous, et n’oubliez pas de commentez réponse garantie !
ride free love plural
Avec le sport de glisse, le parallèle amoureux, avec l’idéal de relation, le sliding- plaisir partagé, partout dans nos cœurs peut conduire au mariage, ou à la vocation religieuse. Malgré ou grâce à tous nos voyages. Admiratif et respectueux des unions éternels, inquiet et interrogatif au regard de l’ordre théologique, nos antiquités recherchent la racine de l’Amour pour Sts Valentine et Valentin. Comme à l’aide des skis, des skates, des surfs, l’Histoire des déplacements de l’humain dans la nature, les forêts, les vallées, les rivières à franchir, les montagnes et déserts à traverser, les pièges de la vie, au temps saisonniers, le parcours se réalisa. Stopper par nécessité ou par envie.
Et d’une évidence lointaine, le voyage et la rencontre ; rencontre toujours ce goût de connaissance, ce désir de compréhension, un besoin de partage, la communion, le sexe. La citation suivante d’Albert Malreaux ou André Camuts, « le bonheur est le plus vaste de nos territoires, dénués de frontière peuplé de bonne volonté, patient de sourires, émus de plaisirs, triste d’au revoir, mélancolique de départ, nostalgique de distance, d’amour. » Alors, donc bon, le parallèle moderne de la vie classée X serait aussi cet héritage de l’antiquité ou les personnes voyageant par delà les contrées, territoires et pays, retrouvant l’inconnu ou l’inconnue, pour une relation brève, longue, variable, saisonnière, riche… Le X, l’extrême, deux univers où semble-t-il, une prise de risque, conduise conduite conduisant au plaisir : Quotidien partagé. L’anthropologie des amours historiques ne nous offre que quelques légendes, au confins de la tradition orale de secrets amoureux, souvenirs mythologique sophistiquées… De nos jours, l’Internet et le global free-ride, propose, offre, un multiculturalisme éthnique et culturel, religieux et relationnel, de l’inde à l’angleterre, de l’amérique du sud à l’allemagne, de l’afrique à la belgique, de la suisse à la californie, du japon à l’espagne, la Planete Bleue…
p U b
F r E e – R i d e I s @ s T a t € o F M i n D …
Ist es heisskaltwassermix zukunft ?
… N 0 B o u n d a r i e s !
Roller Derby Nest
Les états unis d’Amérique, nous ont gratifiés d’un bon nombre d’inventions toutes étonnantes, pratiques, fiables, précises, entre autres ; le Kitchenaid, la Jeep Wrangler, Windows, Coca Cola… Et le Rollerderby. Cette pratique sportive, est essentiellement féminine, chaussé de roller quad, le patin originel aux quatre roues disposées en carré, plus facile à construire que l’inline, et surtout plus stable, sur le modèle de la remorque. Les règles, sont une sorte de mystère, particulièrement compliqué, renvoyant à des rôles qui n’ont toujours pas été traduit en Québécois ; Jammeuse, Bloqueuse, qui doivent franchir des barrages d’adversaires, dans un anneau, avec une prison, et un arbitre au centre, pendant un temps chronométré, le tout en mouvement… Les pratiquantes renvoient la plupart du temps à un livre explicatif des règles, stratégies, tactiques, qui apparaîtrait comme un bon pavé à lire. Un point amusant, serait le surnom du girl power traditionnellement détourné vers un truc subversif, amusant, ironique, tendancieux, original pour chacune des joueuses. Alors, comparé au free-ride, on pourrait croire que la psychologie féminine géniale des USA, aurait choisie de créer un jeu plein de règles, à l’opposé des évolutions masculines de free-ride qui n’en comporte aucune, (excepté ne pas se blesser, quoique parfois certain l’ignore franchement surtout aux USA…). Et donc au lieu de tomber au sol et se faire mal, les filles dans leur très grande solidarité ont choisies de se faire mal entre elles, en se donnant des coups comme au ruguebbie. Si on rajoute la règle de la ligue, pour organiser les matchs, sur la règle des rencontres, le match en lui même, c’est les poupées russes de la réglementation puisque le Rollerderby se pratique malheureusement en club. Ma bloqueuse, jammeuse préférée, pourrait être l’extraordinaire, aux perf de roulage de patins confidentielles et accessoirement classées x, Nicolette Shea, âme sensible s’abstenir, prononcer en Français peut être « chez ». En conclusion certains sports féminins seront toujours d’une complexité admirable pour tout gentleman qui se respecte, avec la pastille vidéo extraites des archives du club Voodoo Vixens, bien remercié avec une bonne claque sur les fesses, toujours plus sympa qu’un slap au sol.
Dodo le dos
Depuis que les hominidés ont commencés de se tenir sur deux jambes, il y a vraisemblablement plusieurs millions d’années, l’immuable physiologie de la marche reste mécaniquement liée à un ensemble musculosquelettique déterminé par le balancement d’un pied à l’autre, plantigrade. L’alternance du contact au sol des pieds, mouvement d’équilibre et de balancier génère environ 1,5 fois le poids du corps à l’impacte, en fonction de la démarche, l’allure. Excepté si on marche très très très lentement, sur la pointe des pieds, d’accord. Cette pesanteur de la masse corporelle se répercute naturellement dans l’organisme, du talon, au genou, aux hanches, pour s’amortir au niveau du bassin, et des reins, particulièrement les lombaires. C’est médical. Exemple ; posez vos mains sur vos hanches, pouces vers l’avant, et avec les quatre doigts exercez une légère pression sur les lombaires, (les reins) puis commencez à marcher d’un bon pas, voir pas soutenu. Vous allez déceler toute la tension brutale de votre marche, qui se diffuse dans cette partie du corps. Et bien, nos rollerskates, ont participés à cette révolution stupéfiante dans le geste le plus inconscient qui soit pour les humains ! En effet, le roulement, en skating, et l’absence de talon, mais la présence d’une roue, facilitent la rotation du pied dans la démarche. L’effet d’impact au sol est presque totalement effacé, effet d’impact lors de la pronation que les coureurs connaissent merveilleusement bien. La fluidité du geste en roller, le même balancement, mais décuplé par rapport au marcheur, la progressivité du contact au sol durant la phase de roulage, génère cette douceur, qui n’aurait qu’une comparaison à ma connaissance : Le ski. Cette capacité technique à produire une délicatesse dans le mouvement, reste une source prodigieuse d’épanouissement pour la psychomotricité des pratiquants, des patins à roulettes, ou des skieurs… Et oui, alors que chacun de vos pas, raisonne dans tout votre corps, le rollerskateur lui, ne connait plus cette douleur inconsciente, et avance ainsi l’esprit léger vers une destination souriante…
Hyper extrême
L’approche dans nos années 20, particulièrement structurée en véritable science des sports de glisses, convient de considérer une discipline aux racines multiples. Toutefois, la nature dangereuse s’estompe par intermittence, avec des phases calmes ou rien, hors limites, n’est vraisemblablement vécu par les sportifs. Des enfants de cœur, en zone de confort, émaillés ici ou là de quelques ratés, engendrant des accidents, plus ou moins sérieux. La routine. Cependant, si l’on excepte l’accès ludique et médiatiquement fun des sports de glisse, on peut aussi se remémorer une toute autre motivation, celle des volontaires au suicide. Rien à perdre, et au pire, ça leur offrira une notoriété si ça passe. Et dans tous les cas, une émotion complètement dinguotte, unique dans votre vie. Les trompes la mort, les vrais, partent déjà acquis au royaume d’Addès en magnifique zombies authentiques. Une roulette Russe comme entrée dans le « game ». Rien à foutre de rien, mais pas vraiment façon Nekfeu. Dans l’histoire, ils ont jalonnés les récits par leur bravoure hélas perdue. Les aviateurs, les explorateurs, les navigateurs, pompiers de Tchernobyl, beaucoup sont morts sans jamais revenir, tout en sachant au départ. L’extrême est un peu semblable aujourd’hui. Une vie établie chiante, pas de futur optimiste, des rêves inaccessibles, des problèmes d’argents, des problèmes d’amour, un monde professionnel esclavagiste, le dégout généralisé du monde, seraient autant de raisons de s’acheter une wing-suite et tenter de se poser sur la Seine depuis le troisième étage de la Tour Effeil, sans ouvrir de parachute, façon ricochets, canard à l’amerrissage ? C’est tendu, mais ça peut passer ? Ce serait inédit. En bref, quand la déception du quotidien de la vie vous étreint, rien ne vaudrait le grand shoot d’adrénaline ? Prendre le chemin du free-ride, pour aller plus loin que ce que l’on imagine, dans tous les domaines, pour l’acteur et les spectateurs. J’ai toujours eu une interrogation profonde pour ce comportement éliminant toute pensée de votre cerveau face à renouveau spectaculaire inopiné. Respect ou défiance ? C’est une lame à double tranchant, qui vous élimine si vous la manipulez par inadvertance. En France, nous serions des lopettes à côté des Américains, des Russes… Au début de cette discipline, c’est pour cela que l’on nommait le sport ; Extrême. Aujourd’hui, les disparus nous ont appris par leur don de soi. C’est là qu’une nouvelle notion pourrait émerger, repoussant encore les limites, après tout, l’hyper-extrême ? Si, les fondations ont évoluées. Qui sera motivé ? Ou pour illustrer mon propos ci dessus, qui sera assez désespéré ? C’est le cas du voyage sur Mars. Taïg Khris fut un exemple en rollerskate, mais à part des voltigeurs de back flip sans casque sans pads, distinguer d’autres folies en patin se fait assez rare. Après ce nivellement partant de la base vers le haut, toutes les conneries imaginables auraient elles été commises ?
La chute de la biblioteck
Il y avait longtemps qu’une bonne dégringolade ne m’avait pas secoué et bien celle ci est gratinée… Vous allez comprendre et c’est assez amusant, très symptomatique des jeunes aujourd’hui. (Et des moins jeunes…) Tout le monde tombe, devant la bibliothèque, beaucoup échouent ! Une chute au ralenti, qui ne se perçoit que très peu, presque inévitable… Tellement de choses à lire, si peu de temps pour lire… Le dédain, le désintérêt du livre… Echec des lecteurs, comme des écrivains… La vidéo ici est cette vision métaphore de l’accident en free-ride, qui ne m’est pas arrivé depuis longtemps, c’est vrai j’ai réussi à rester particulièrement fiable, alors dans mon private techno-centre du sport urbain, je réalise ce crash test d’un contact au sol, pile devant ma bibliothèque, comme la majeur partie des jeunes connectés sur le réseau « Zap-Tracks » ou je ne sais quel canal numérique… C’est la raison pour laquelle j’ai volontairement choisi de disposer mes livres, DvD, disques, au raz du sol… C’est l’endroit le plus difficile à atteindre. Sélection choisi et sans cesse renouvelée d’ouvrages… Et cela me permet de prévenir à minima, l’effet d’une éventuelle nouvelle chute… Car l’individu bébé à d’abord rampé, il convient de se remémorer cette état enfantin, préserver un contact au sol heureux ! Pour bien vieillir. Newton a bien découvert la gravité au pied d’un pommier… Cette chute simulée en vidéo est un clin d’oeil vous l’aurez compris…
Culture de la neige
C’est bien simple « fondre comme neige au soleil » est un peu l’expression que tout le monde devrait utiliser pour redonner une conscience à nos comportements. La symbolique hivernale est toujours là présente dans nos souvenirs mais pourtant le réchauffement climatique nous balance encore une sacrée mornifle. Nos désirs s’accrochent à cette sensation de glisse pure dans un élément virginal à la blancheur éblouissante, quelle sensation viendra remplacer les sports d’hivers ? Post un brin nostalgique dans ce blog, pourtant il faut bien admettre l’état apocalyptique de nos stations de sports d’hiver, Métabief, Les Rousses, La Bresse… Des champs gris vert à perte de vue, des chaleurs étouffantes dans nos vêtements de ski, une route de neige de culture étroite et puérile à l’idée d’un domaine, proprement dit, que l’on parcourait dans tous les sens, à l’envie. Le changement est une constante, durablement. C’est ainsi qu’il faut déjà faire le deuil de ces joies extraordinaires pour préparer un futur déjà plus tragique, envisager le bouleversement biologique, mais j’arrête là, ça dépasse le cadre de mon modeste blog. Bon ski à toutes et à tous, si vous avez les moyens de partir au dessus de 2000m… Rappelez vous que la surpopulation sera également de la partie avec une affluence record pour un modeste champ de neige pris d’assaut par des skieurs et snowboardeurs avides de plaisir inconscient ; la société des sports de glisse se trompe-t-elle ?
FREEDOWNHILL
De quoi s’agit il ? Et bien c’est un terme Anglosaxon qui désigne ma pratique de la descente libre, en traduisant ce mot à la lettre. Comment cela est il venu ? Et bien, en pionnier du roller mais aussi d’Internet, votre humble serviteur dans l’année 2001 conçu le site freedownhill.com qui n’existe plus aujourd’hui hélas. A l’époque, inlinedownhill.com balançait des photos de roller issues du championnat d’Europe, et croyant dur comme fer au développement de ce sport tout neuf à l’époque, (en 2001 je le rappelle…) j’ai investi dans ce site internet. Aujourd’hui, le roller est toujours un sport marginal, malgré la révolution qu’il représente. Pour ma part, je conserve une pratique libre, de montée et de descente, le freedownhill est devenu une sorte de randonnée urbaine, faite de montée et de descente puisque Besançon m’offre ce terrain de jeu, contrairement à Lausanne, Paris, ou Berlin, où j’ai pu engager mes roues entre autres… Pratique très marginale certes, puisque je roule la nuit lorsque les rues sont désertes, ce qui n’enlève rien au plaisir pris, même pour ces images de montée.
Soul surfeur
On entend parfois ce terme pour décrire un gars qui pratique le surf… Qu’est ce qu’un vrai surfeur ? Non il ne s’agit pas de remettre en cause l’authenticité surfistique des uns ou des autres, mais il s’agirait plutôt de savoir vraiment ce qu’est le surf… Oui, car à priori, tous les surfeurs sont de vrais surfeurs, cela va de soi, mais pourquoi cette quête de vérité alors ? Et bien si les surfeurs ne font pas de compétition entre eux, c’est particulièrement vrai dans le milieu du free ride, certains sont plus « vrais » que d’autres, s’investissant corps et âmes dans la pratique. Leur « surfeur dans l’âme », serait la bonne traduction pour ce terme de « soul surfeur » Alors, je ne vais pas ici détaillé l’âme de quelques surfeurs, vous vous en doutez, cela ne serait pas le bienvenu, mais certains d’entre nous, à certains moment de leur pratique du free-ride, ont été vu et dégagent cette même émotion de perfection d’un glissement surnaturel pour l’individu, homme ou femme qui prévaut à la pratique, quête ultime pour chacun d’entre nous…
Roller agressive
Je chausse les rollers après avoir touché au but question réglage, le set up des patins est enfin le bon. Sur le plat, je lâche quelques slides alternatifs et une poignée de slides des deux patins parallèles, tout va bien dans la tête. J’ai juste un peu de fatigue récurrente à me propulser pour glisser. Alors je prend l’option du tram pour monter sur les hauteurs de Besançon, d’abord la gare, ensuite Lilas. Seulement le paramètre de la circulation m’impose une toute autre attitude. Je dois rouler au tempo des voitures, où du moins pas trop lentement. Si bien que je dépasse ma vitesse de glissement permettant l’enclenchement de mes slides, et fini tout en raclette. Sur le tracker d’activité, je ne dépasse pas les 30 km/h, ce qui est relativement raisonnable car je pourrai atteindre les 50 km/h. Je fais face à cette appréhension du slide à vitesse moyenne. Il me faudrait amorcer un mouvement comme j’ai déjà pu le faire parfois. Alors pourquoi cette appréhension ? Perte d’aptitude ? Peut être, en tout cas, rester sur la défensive et ne pas attaquer son point de glissement n’est pas la bonne attitude. Faire preuve de mordant, incisif, tendre vers l’agressivité comme le disent certains le roller « agressif » c’est là toute la question de cet état d’esprit. Si je fais la gueule sur la vidéo, c’est parce que la pluie faisait son apparition, rendant la route proprement très glissante, et donc marquant la fin de ma session…
L’impératif du bien être
Facile, simple efficace, le stretching, ou du yoga si vous préférez, en bref une discipline adaptée au maintien de la souplesse. Certes, je n’ai plus un physique de jeune premier mais je me maintien, condition siné qua none pour la pratique du free-ride… Cela va de soi, tout les pros vous le dirons, et si ils ne vous le disent pas, ce sont des dissimulateurs ! La durée réelle de cette routine est de 10 minutes, mais pour des raisons de lecture, j’ai volontairement accéléré la vidéo. N’oubliez pas : respirez, soufflez, inspirez, détendez-vous concentrez-vous souriez ! Cela prend peu de temps et ça rapporte beaucoup en terme de souplesse… Garantissant ainsi une meilleure mobilité, et donc d’excellentes aptitudes pour toutes vos activités ! Bon courage pour le stretching, ou le yoga, si vous préférez… Peu importe le nom l’important c’est l’hygiène de vie.
E M O T I ON
Entre des douleurs impossibles et des exploits invisibles, le free-rideur emmagasine généralement des palettes émotionnelles intimes puissante. Pour ma part, entre quelques traces sublimes à ski aux aurores, ou des entorses seul en pleine campagne, j’ai eu mon lot de sensation. L’intensité de la vie en somme… Alors si je pouvais donner un conseil, ce serait de toujours partager ces moments flamboyant ou des terreurs honteuses… Il y a tant à transmettre dans la narration de ces instants si puissants, qu’ils soient bon ou mauvais d’ailleurs. Un signe de ma solitude ? C’est pour cela que j’ai choisi le blog et la littérature… Mais il est notable qu’en dehors de la communauté des rideurs, il n’existe pas beaucoup de monde susceptible de partager une telle palette émotionnelle allant du très heureux au très triste, et l’inverse évidemment. L’extrême génère des émotions puissantes, et l’addiction à ces dernières est évidentes, la vie est comme une drogue… Notamment lorsqu’on est sur le point de tomber…
Blogguer aux chiottes du free-ride
Particulièrement périlleux de pouvoir blogguer avec mon free-ride… Où alors c’est ultra facile… Premièrement être honnête, règle sinéquanone pour pouvoir s’épanouir dans le blogging. Ensuite, trouver des sujets délaissés par les autres n’est pas une chose facile, mais de toute façon pourquoi faire comme les autres ? J’ai envie d’écrire, si tout le monde fait la même chose, dans l’ultra compétition du free-ride, cela devient chiant à mourir, donc autant garder sa propre ligne. Ma ligne de free downhill, de descente libre, et partager capitaliser sur mon expérience de randonneur, faisant des montées et des descentes dans ma bonne vieille ville… C’est la meilleur des choses à faire. Si j’en fais trop, cela passera en soufflé retombé très vite, si je reste timide dans ma pratique, c’est moi qui vais me lasser. Alors ce confinement tombe à point nommé pour pouvoir se remettre en question. En somme je suis un amateur discipliné ou un pro sans une thune, un touriste méthodique ou un extrémiste prudent… Mdr…
Sociabilization
Quel est cet outil que vous utilisez ? Un skate ? Ah, d’accord… Et oui, le skate brise les codes de la société, en effet, certains promènent leur chien, moi j’ai longtemps promené ma planche… Et ça marche pour s’affranchir des conventions sociales de bonjour et bienséance, il est naturel d’aborder les autres passants qui eux, voguent vers quelque chose de certainement très sérieux. Tandis que toi, tu es peinard en session avec un planchon, en street, relax, près à t’étaler sur le bitume à la vue des badauds. Le contraste est franc. Alors cette distance parfois abat des frontières et permet une franche courtoisie, un discours direct. Non, ce n’est pas du harcèlement de rue mademoiselle, je vous trouve coquette et sexy. Après tout, si les habitants d’une même ville, si malgré leurs différences, plus aucun contact n’existe alors à quoi bon vivre ensemble ? Le mieux cela reste encore en soirée, durant les sessions nocturnes auprès de vos amis co-générationnels, là s’en est même parfois relou : Oh il a un skate, vas-y fais voir !
Confort zone
On en parle toujours abondamment dans d’innombrables circonstances sans jamais analyser ce qu’est la zone de confort, traduite ici par assurance. Votre assurance en roller par exemple, provient de plusieurs paramètres : l’état de votre matériel, la météo, le lieu, votre physiologie de sportif, l’entourage des amis ou des inconnus, votre but, une démarche… La constitution de l’ensemble des paramètres cités ici, sont votre assurance. La zone ; c’est trop péjoratif, le confort ; c’est trop satisfaisant. Par exemple, lorsque tout change, les rollers, le lieu, la nutrition, l’entourage d’inconnus peu bienveillants, le but de briller et une démarche compétitrice, c’est courir à la catastrophe car votre assurance est noyée… C’est compliqué tout cela, non ? Alors restons dans la zone de confort… Ici une vidéo shootée à Brighton sur Dyke street… Mon dilemme actuel, la fin de vie des FSK en 320 mm pour utiliser un nouveau patin, moins performant… Donc plus dangereux ? Pas tout à fait car justement, l’insatisfaction pousse à apprendre de nouveau… La suite au prochain épisode !
Ni tourist ni pro
Qu’il est bon de ne pas être prisonnier d’un job de sportif pro… Pas d’objectif de résultat, pas de problème de compétition, la pratique quand on veut, le bonheur quoi… Et en revanche, pratiquer comme un semi-pro, confère des aptitudes athlétique qui sont utiles au quotidien pour une multitude de tâches dédiées au travail, travail fondamental car il permet de garder le contact avec la réalité, et offre ainsi toute la valeur de la glisse comme une récréation… Nampa chantait (traduit) « rider dans la rue tout les jours) c’est une énorme connerie… Rien de tel qu’une session de temps en temps pour garder la forme, avec un entraînement régulier et un job à trois quart de temps… C’est la liberté moderne… A noter le livre de Guillaume Barucq, « surf therapy »…
Global free ride
Ici, nous retrouvons un précurseur du global free-ride dans l’usage des éléments océaniques et montagnard pour la pratique des sports de glisse… James Bond traquant les méchants gangsters internationaux, qui eux mêmes étaient planqués dans les stations de sports d’hiver, ou sur des plages surfables. En 1981 avec cet extrait de « For your eyes only » Rien que pour vos yeux, Cortina d’Empezzo est la station où les scènes de ski furent tournées, et Corfou, où la scène de plage fût réalisée. 40 ans plus tôt, le cinéma Hollywoodien laissait deviner ce qu’allait devenir la glisse internationale, les services secrets de Sa Majesté en moins. Nous constaterons alors que l’agent secret lutte seul pour préserver la paix, l’épanouissement des masses et la pratique des sports de glisse en toute quiétude, bercé par l’ultralibéralisme. James devient alors le gardien de ce même ultralibéralisme, alors que le paradoxe de notre relation aux sports de glisses abrite les méchants tueurs.
Analyse du besoin de free ride
Vraiment on peut trouver des tonnes de raisons à aller pratiquer la glisse, et c’est pour cette raison que tous les rideurs sont uniques… Enfin, on pourrait le croire. Alors qu’est ce qui nous pousse à aller repousser nos limites ? Et bien plusieurs réponses, la première étant que notre société est devenue chiante à mourir, ou tout est structuré, de la murge du samedi soir, au bip bip de recul de n’importe quel camion, la technologie et le big data nous offrent une multitude de prévisions dans lesquels il ne peut y avoir qu’une issue, la glisse. Un peu de hasard, un peu d’aventure, un zest d’audace, un soupçon d’incertain, que demander de plus ?
performance poetik
Je rappelle qu’en chacun de nous il y a un artiste
Alors c’est pour une glisse libre
La poésie d’une toute autre fibre
Ceci étant dit
Je peux reprendre ma glisse
Ici pas de politique ou de déni
L’action la pensée se déplace sans police
Je ne vous le cacherais pas
Ces quelques vers ne sont qu’une introduction
A ma poésie ma vibration
A ma glisse et sa lecture celle là.
Car elle est heureuse
Pas de chagrin dans mon débat
A si à peine une chute hasardeuse
La glisse urbaine, montagnarde, océane, ne complexifie pas.
Je l’ai appelé ainsi
Une glisse libre cela va de soit
Elle fait partie de la vie
Aucune politique n’impose sa loi
Poésie totalement inutile
Donc tout à fait indispensable
Ce mouvement habile
Est plus que responsable
Ici pas de couleur politique
Une seule vérité
L’attitude internationale diplomatique
Eviter de tomber
Pas besoin d’être riche
La créativité l’endroit ou elle se niche
Sortir du lot facilement
Votre identité ne me ment
Black friday
To buy list / list d’achats / kauhfof list
La planche en moumousse pour faire un coussin…
Le piège du free-ride, ne faire plus que cela…
Prendre plaisir sur un chemin de 10 mètres après 13 000 kilomètres…
Shaking my arms trying to fly as a bird…
Rester heureux de vivre quelque soit son compte bancaire de bank…
Sombrer dans une folie mythomaniaque extraterrestre shot’m’up…
Reisen nach Berlin
Etre accro à l’adrénaline et faire n’importe quoi dans un 5 étoiles…
Vouloir chercher à faire un tour de magie sans habilitation légale…
Things to do, things to avoid in this list, write the blog author to know
Talking polite, going to bed early, teeth brush, driving Mercedes benz
Escroquer le trésor public en se cachant au CNRS…
Regarder tes yeux et crier je t’aime mon amour si tu es loin…
Acheter une pallette de Red-bull spéciale édition « politik pupitre »…
Faire la manche après trois semaine sans se laver…
Being wise by yourself, avoir du libre arbitre, bewegungfreiheit…
Parler avec sa mère pour qu’elle vous mette des claques…
Faire une sextape avec mademoiselle Cordiale Amitié…
Taper une impro en slam de hip-hop avec Chironi et Raphal…
Buying a picture of Elvis Presley…
Photographier Jacques Paillard & Daniel Boucard & Jack Daniel…
Bamos baïla salsa
Refaire une todolist pour la conquète Venusiènne, Mars c’est pourri…
Shaking my hands before screaming
Tricoter un Boxer homme avec de la dentelle de Calais d’Aubade…
Cleaning free-ride tools
Rider cool & safe & strong & happy & shitkfghjù !&I ‘ll be fine…
Concevoir un Victorinox Suisse avec une seule clé Halen wrench…
Breathing by my nose before speaking
Filmer une vidéo artcontemporain 1 minute de bise Vladimir Poutine…
Vider les poubelles à Paris pendant un Cdd de 3 minutes payé 998€…
Què cosi ?
Chanter le Paris Sans Germain à l’olympique de Marseillan plage…
Passer chez mon poissonnier pêcher des idées…
Healing Funk Say…
Me suicider pour la 763eme fois…
Revenir à l’Eglise pour écouter la bonne parole des baskets…
Donnner naissaaance à mon fils ou ma fille où sa maman Papa moi ?
Prendre des notes sur replay de Claire Chazal lors du Jt du 10-09-2001
Et sourire le matin avec le chat que je pourrais adopter parce que vous me faites toutes chier mes amies Françaises adorées…
board cleaning
Les villes, leur sol, est jonché continuellement de détritus que les gens jettent négligemment en oubliant de nettoyer les poubelles, mais les pollutions chimiques, particules fines de pneus de voitures, poussières, déjections canines, seront toujours présentes même si on utilise les poubelles. Alors hélas, il faut nettoyer les planchons !
The city ground would probably be always dirty, even if you clean it well, it’s not a bathroom ground so here is the advice for you bacteriologic health, clean your board !
Skateboard is schlecht und polluzion krank, ach so, mussen reinig ist fur besser sex !
Boloss du blog ?
Et bien, mes chers followers et followeuses, le travail de blogging est teinté d’écran à la luminosité variable à partir desquels votre humble serviteur, réalise chaque mois un sujet précis (depuis une année lumière) sur notre univers de free-ride, (essentiellement urbain parce que l’on vit en ville essentiellement…mais pas que…) Les rouages de cette perf’ sont visibles ici, avec un éventail de documentations et d’analyses chargée d’acquisitions médias qui rencontrent toujours la compréhension des personnes sollicités pour un petit cliché par-ci que je remercie ici, sans vous… Et toujours n’oublions pas le style unique de freedownhill, mode rando, comme le ski, comme le stand up paddle, l’effort pour atteindre la glisse…
Mémo secours
L’évolution de la glisse urbain implique des précautions anticipatoires d’acceptation des chocs, mais, en cas de traumatisme sérieux, une seule chose compte, la prise en charge du blessé, et l’appel des secours.
Les services de croix rouge et de sécurité civile connaissent les méthodes et techniques de prise en charge des blessures en fonction de leur gravité, en lien avec les secours, ils seront capablent de vous former au geste à tenir.
Si vous ridez seul, essayez d’emporter un smartphone, un aliment type chewing-gum, et des kleenex… (pour certain des préservatifs aussi…)
Composer le 12, ou le 112…
Ethik, déontologie, responsabilité, évo
Le code, l’honneur d’une action sportive en 2019 est elle encore dans la compétition pure ? Dans la technologie d’un moteur auto spécifique à explosion et réaction exothermique ? Dans la création d’un sport spectacle télévisuel support de pub à organisme de crédit à taux zéro ? Dans l’ultime professionnalisation d’une capacité physique et mentale uniquement destinée à l’action d’une performance inexistante au quotidien de la société ? Tant de questions sans réponse…
The rule, the honnor of a sportivity involvement in the year 2019 is still again in a full winning race against the others ? Is it the science of a fuel burning management into a big block engine increasing warmness ? Is it the broadcasting of entertainment for a tired home audience feed with flashes and hypno for advertising businness of shopping delivery ? Is it the last job for a physical capacity only living for a pleasure of champions celebration in un- productive duties ? So much asking without future…
Salut les Followeuses et Followeurs
Aujourd’hui, petit topo pourri parce que le roller sans musique est plus réceptif au tempo des villes, ensuite parce qu’en montagne, quand on monte on redescend aussi, et enfin les vagues c’est surpuissant. Attention… traduction : Pouvoir écouter les piétonnes qui s’expriment envers les gars qui roulent comme moi, il faut savoir freiner. Penser à profiter du paysage et d’une bonne voie de descente praticable, et pour les vagues, regarder les prévisions de houle ne suffit pas toujours, s’arrêter au bar des pêcheurs est aussi important, afin d’éviter de couler… (au fond d’un pastis ?) Comme ça se dit sur Riding-Zone : Good glisse everybody !
Vous l’aurez compris, ce blog ne se prend pas au sérieux… Votre humble serviteur serait il bourré lorsqu’il pond ce genre d’article sur son blog ? Et bien la réponse vous appartiendra… En tout cas, les élans narratifs dont je suis ici l’objet n’ont d’égal que le plaisir incommensurable pris lors de sessions de surf, de skate, de ski… Mais trêves de jérémiades, il faut déjà retourner au travail après cette parenthèse enchantée d’un paradis de glisse dont vous seul avez eu le secret, à moins que vous n’ayez vécu une galère sans borne dont vous ne voulez même pas vous souvenir. Le monde de la glisse est impénétrable.
Le capital jeunesse
Le schéma du temps illustre comment nous pouvons influencer notre ADN à partir des pratiques sportives que nous engageons. Vraisemblablement, lorsque l’on préserve une hygiène de vie saine, on à en toute conscience une impacte positive sur notre organisme, et donc on influence directement notre ADN et notre patrimoine génétique. D’autant plus lorsque les sécrétions de dopamines et endorphines génèrent un état de bien être qui est encore plus bénéfique pour le corps, l’âme et l’esprit. Et donc cette synergie se met en place favorablement pour préserver le capital jeunesse et donc mieux vieillir, grâce à la glisse.
Urban graphizm
Les tags ont toujours fait partie intégrante de la ville et de l’iconographie associée… alors quoi de plus normal que le free-ride Urbain s’en inspire ?
L’eau (Acqua-biking)
L’aqua-biking, je me demande pourquoi les inventeurs de cette méthode n’ont pas précisés qu’il s’agissait d’un appareil destiné aux personnes en situation de convalescence ou de handicap. En effet, ayant participé à plusieurs sessions d’entraînement au sauvetage aquatique, j’ai toujours en tête cette citation de Franck Esposito ou peut être Alain Bernard « Il n’y a rien de plus autoritaire qu’un bassin olympique »… Pour ma part, lorsque je retrouve cet échantillon désuet d’océan, je prend en compte quelques points de discipline comme :
- Ne pas s’accrocher au bout des lignes d’eaux pour discuter mais nager le demi tour sans toucher le mur c’est encore mieux…
- Faire des canards à la demi longueur pour se remémorer ce qu’est une vague dans la che-tron…
- Chercher le S U R F maximum d’amplitude dans ces gestes tout en accentuant sa respiration…
- Plonger sous l’eau, en apnée évidemment, pour se rappeler que rester en surface n’est qu’une évolution en deux dimensions…
- Sortir du bassin pour récupérer et s’hydrater tout en évitant de porter des palmes ou des gants ou un casque musical parce que le bruit de l’eau implique de pouvoir communiquer pour se comprendre…
- Faire du statique en essayant de réajuster ces lunettes ou la planche, comprendre la fluidité de son corps…
- Faire appel aux maîtres nageurs pour se renseigner des conditions…
Ces détails d’attitude peuvent permettre, à mon sens, de garder à l’esprit ce qu’est l’élément liquide sauvage, les plages gorgées d’iodes et la mer dangereuse, si lointaine de notre Besançon fortifié : Franchement, l’aqua-biking c’est un pédalo qui à coulé !
La glisse est partout
Sur les t-shirts des mecs au gros bide, pour les publicités de tronçonneuses, sur les séries spéciales de voitures, en affiche 4×3 pour des robots ménagers, pour les vacances à la montagne, sur les casquettes des enfants, sur les bouteilles de shampoing, sur les canettes de soda, dans les magazines, à la télévision pour les publicités d’anti-âge, pour les chaudières à gaz, virale, totalement virale, la glisse s’est imposée comme un symbole vide de sens dont il appartient à votre humble serviteur de trouver avec vous une signification. Liberté ? Action ? Fraicheur pour le surf et le ski ? Audace ? Adrénaline ? à vous de choisir, quoi qu’il en soit, il sera difficile de passer outre ce phénomène de société de consommation, qui nous impose le dictat de sports extrêmes…
Shiastu et bien être Suédois
La santé et le bien être sont pris en compte très sérieusement par votre humble serviteur, et ici, aujourd’hui nous allons voir que les soins Shiatsu de Lorraine à l’institut Osaka de la rue de Belfort à Besançon sont un réel bienfait pour tout un chacun. Le soin apporté recentre, détend, repose, ressource, créant un véritable apport de santé, grâce à l’effort de Lorraine. Pour ma part, la concentration étant très importante, c’est également pour le volet mental que je choisi de suivre ce soin par Lorraine, car la force psychologique d’un free-rideur est un aspect qui ne doit pas être négligé. Merci Lorraine !
Compréhension de la montagne, compréhension de soi
La montagne est un environnement tout d’abord hostile, il faut savoir économiser ses forces et faire preuve d’intelligence pour s’aventurer là haut. Comprendre les pentes, lire les massifs, déjouer les pièges, ne pas suivre de mauvaises pistes, toutes les traces ne sont pas bonnes à suivre. Et ce n’est pas parce qu’une personne est déjà passée que vous pourrez suivre sa voie. C’est là où la compréhension de soi recèle toute l’importance de savoir qui l’on est, de quoi l’on est capable, et où vous irez skier. Faites attention, mais sachez vous faire plaisir dans l’effort et rappelez vous : Lorsque l’on monte, on doit forcément redescendre.
La peur ce sentiment amical
Les gens perdent le contact avec ces émotions qui sont puissantes… A mon sens, de jour en jour, plus personne n’aime avoir la frousse, cette émotion qui vous glace et vous balance un rythme cardiaque de dingo pendant 15 bonnes minutes… à vous faire flageoler les guiboles et à vous rendre livide… Ce sentiment qui vous procure une adrénaline pure, pas celle des soient disant chasseurs d’adrénaline… Et ces émotions sont dures certes, mais nécessaire à la compréhension de votre comportement, de vos choix, de vos erreurs. Alors n’ayons pas peur d’avoir peur, c’est un sentiment naturel qui mérite que l’on s’attarde sur cette question… Et puis la peur créée des souvenirs, de l’éloquence, de l’authenticité, autant de qualité qui sont devenue indispensable de nos jours.
