C’est vérifiable dans les statistiques de ventes, en neuf ou d’occasion, la freeboard connait une vraie embellie, un essor un développement notable. Cette planche née à San Francisco dans les années 90 est devenue un véritable engouement de la part des communautés de rideurs. D’ailleurs, communauté de rideurs dont le niveau ne cesse de croître, d’une manière totalement débridée et surprenante de créativité. Rien de plus normal qu’au mois de juin 2025, ce skate confidentiel du nord Californie devienne une discipline à part entière avec sa 5eme mouture, soit la freebord 5X. Sur le bon coin, les freeboards deviennent particulièrement rares à la vente, comme une indice également que le niveau des propriétaires monte également, oui, donc moins de freebords en vente. C’est une mode qui durera ? Telle est la question, toutefois, lorsque l’on observe les extraordinaires prouesses de la jeunesse, on peut penser que ces acrobatiques athlètes ne voudront pas se séparer de leur objet si facilement que cela, pour preuve des événements de rencontre régulier organisés quasiment tous les weekends. Maintenant il est difficile de trouver une planche à moins de 100€, alors que la mienne fût acquise 65€ en 2005 !
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retrospective
Depuis 25 ans de pratique de la descente en mode rando, il est parfois important de regarder en arrière pour mieux savoir où aller dans l’avenir. Et avec des milliers de kilomètres parcourus en free board et roller, je peux savourer un avenir expert en la matière. Un carnet de sorties, des analyses techniques, la préparation physique, la gestion de l’équilibre, l’assurance, autant de points développés qui m’ont permis, me permettent de préparer de prochaines sessions serein. Ce qui me permet également de rester performant professionnellement. Préserver mes acquis, assurer mon évolution, anticiper, et continuer la recherche de progression car cet idéal vers lequel l’on tend, n’est pas atteignable, la vie étant un mouvement perpétuel, il n’est jamais possible de « figer » quoi que ce soit durablement. Cet atout reste un point de compréhension à partager pour lequel je serai investi : Le coaching, le partage, lutter contre la vieillesse, rester maître de mon évolution et surtout prévenir les accidents, continuellement. C’est la revue de direction, le bilan, la rétrospective… Voyant derrière tant de discrètes performances, de sourires et de joie, je ne peux voir l’avenir que confiant : L’évolution est un état de la vie proprement dit, particulièrement dans le free ride… « Laird Hamilton ».
Energy Cake
Les préparations culinaires classiques pour les gâteaux de type « brownie » demandent les ingrédients suivants :
Farine de blé, miel, lait, Maizena, compote de pomme émulsionnée au lait écrémé, crandberies, un supplément nutritionnel Nutrend pré-work out à L-arginine alfa kétogluturate, sucre de canne, amandes brisés en deux, crème de coco, et gingembre.
Incorporez les ingrédients, mélangez sans laisser de grumeaux, nettoyer le plan de travail en cours de préparation si nécessaire, et ensuite, n’oubliez pas qu’il y a un ingrédient secret !
Cuisson au four traditionnel ou micro onde, avec une ou deux phases d’homogénéisation.
Il s’agit d’un gateau, équilibré dans la pyramide nutritionnelle avec : sucres lents, protéines, et acides gras plutôt insaturés… et oligo-éléments, minéraux, épices… au hasard.
La route oubliée
Il faut bien savoir que les images de rampe peuvent être produites à gogO, attention sans en être Gaga. Toutefois, le propos de ce topo blogguistique réside dans l’absence d’un lieu de rencontre adapté, à l’esprit du free-ride urbain. Ce qui serait, un endroit où nous pourrions manger, boire, siester, soigner la bobologie, concevoir en plan des customs de roller avec des outils de réparation ou d’échange de pièces de long, pratiquer le stretchin’ ou prier pour Shiva Ganèche au chocolat, pas de concert électrique, à peine une Hi-fi, éventuellement ajouter une rampe verticale, au lieu du bowling, avoir un soin de kiné lambda par du monde, le skate-thé et le café-inline ici dans la bonne vieille ville de Besançon France, reste, sous un autre angle, un marronnier des lieux culturels du centre. Beaucoup de petits lieux pour se rencontrer mais pas d’endroit spacieux ou suffisamment grand pour tout le monde. « Petit coucou à madame la maire, madame Vignot, si elle nous regarde… » citation de Muchel Dricker. Le café des rollers ? Le salon de thé des skateurs ? Non, non. Peut être le bar du free-ride ? Stock de roues usées, roulements à graisser, pads à échanger, du grip Jessup, graffismes en thérapie de message à incruster sur le petit cerveau de matière grisée, de la musique, des retours de webcam de la surveillance de la ville pour les spots, sculpture avec des déchets deck-break, bon plan entre stations, villa de van ensablé oublié sur la côte sauvage du boulevard de la plage, achat de roller, un écran géant, des canapés, des technogyms, une machine à coudre, des DVD, du CBD, un DICO, vente de skate, revente en bourse d’occasion permanente, ressources médias, ouvrages internationaux, magazines, livres, posters, cartes d’embarquement aux télésièges du jetski, annuaire des agences d’intérim, et aussi, je le découvre en même temps que vous, ces lignes, avec des piscines artificielles à vagues, et des frigos à neige skiable, il faudrait aussi ce lieu pour le free-ride à vocation Européenne. Ou l’inverse. Bienvenue aux pros et aussi aux mythos. Aujourd’hui, week-end du 17, 18 novembre, se tenait la bourse au ski de Besançon, avec la question dinguote du réchauffement météo dans toutes les contradictions comportementales. Une session wildstrasse « on a wet » est toujours possible pour chaque rollerskateur averti, sans mégalo prendre sa tête pour une ballon de hand ou ralentir la circulation de manière exagérée. Alors, pourquoi pas l’ancien Forum de la grande rue de Besançon ? Vu que la fièvre est à Lausanne… Pas d’hébergement in situ, prévu à cause du boulot, et aussi de la libido, et enfin une autre tradition Bisontine Française, la nuitée chez l’habitant, ou en hôtellerie…
Cinquième année
Et bien très chers suiveuses et suiveurs, ce post commémore solennellement l’anniversaire du modeste blog dont vous êtes devenus les habitués… Alors pas trop de cérémonie ni de protocole, juste un petit coup dans le miroir pour constater que ces 5 années sont écoulées trop vite, à la vitesse d’un bon ride ! Thématique sportivo-culturelle, ce free-ride n’est pas juste un sport que l’on admire pendant 10 secondes durant une image spectaculaire, c’est vraiment un mode de vie à part entière qui vraisemblablement influencerait notre quotidien au plus profond de nos attitudes de confiance ou défiance, que l’on soit un adepte de la glisse ou non, je le constate régulièrement. Consciemment ou non. Cette image folle d’un skieur ou d’un surfeur en saut périlleux ne me concerne plus, toutefois, ni tout à fait touriste, ni tout à fait pro, comme je l’explique dans cette vidéo qui ne se prend pas au sérieux, (c’est la fête également), je reste positionné marginalement dans un univers où les clones sont devenus légions… Tous et toutes à la recherche des mêmes performances, des mêmes coups d’éclats médiatiques, j’offre alors une littérature qui fera la part des choses. Etre bon ne suffit plus, il faut sortir du lot ? Etre imaginatif… Comment ne pas lire et relire ce que ces déplacements prodigieux nous font vivre ? Mais bien plus qu’un outil de promotion littéraire, ce travail régulier de blogging vous offre des analyses, des feedbacks, des comptes rendus de sessions, des intuitions, du ressenti, des explications matériels, bref, tout ce qui gravite derrière ces prouesses, ou simplement ce qui permet de rester un pratiquant, à tout âge. Certes, perso je ne suis plus un athlète, mais je demeure sportif ! Alors partager cette vision d’un univers en constante mouvance est un plaisir que vous apprécierez je l’espère ! Concrètement vous trouverez de quoi alimenter votre envie de free-ride, à majorité urbaine, car oui, c’est le moins cher ! Et de toute façon, on passe systématiquement par le goudron pour rejoindre la mer ou la montagne, donc… A tout seigneur tout honneur… Bon marché la glisse citadine, oui, mais aussi des possibilités vastes, ce qui vous permettra à vous, de trouver votre voie, c’est le cas de le dire… Alors bonne session à vous toutes et tous, et pour conclure, je détourne une citation, comme le disait à peu près notre Cyril Hanouna stratosphérique national, « le free-ride est une fête ! »
Analyse du bide
Question simple : Pourquoi le rollerskating recule-t-il en France dans son nombre de pratiquants ? Car nous le remarquons, les patineurs sont de moins en moins nombreux alors que cette technique de déplacement revêt toujours un vecteur de plaisir quasi incommensurable… Premièrement, la feignantise. Les trottinettes électriques, ou normales, très simple à utiliser, sont plus direct à l’usage, efficace rapidement en préhension, un peu comme les chutes qu’elles procurent. Deuxièmement, les écoles de rollerskate. Structurées par la fédération, la bonne conscience de prévention des risques ; milieu fermé, protections obligatoires de tout le corps, crée une contrainte inhibant drastiquement l’épanouissement. Et en étouffant le plaisir, on se torture pour rien. Surtout qu’en pratiquant en milieu clos, bardé de sécurité passive, en sortir, génère un seuil « terrifiant » pour rejoindre le monde libre de la jungle urbaine. Cette peur empêche les plus téméraires de s’insérer dans la ville, et la disparition du patineur voit ce sentiment d’inappropriation grandir, in finé, tous reculent. (alors que faire du roller d’appartement, c’est comme le vélo, tellement mieux dehors, dans un univers aux possibilités infinies.) Mais bon, les gens ont peur, que voulez vous. Troisièmement, l’évolution de l’âge du pratiquant. Trop jeune et encore sous la coupe de vos parents, ils refuseront de vous laisser pratiquer ce sport au profit des disciplines académiques, foot, gym, natation, judo, ect… car moins dangereux, à priori. Et une fois émancipé, vous aurez trouvé un job, et refuserez vous-même de prendre ce risque, le rollerskate, à cause de cette triste mauvaise réputation. Resterait deux tranches d’âges et un groupe marginale, de 16 à 23 ans, ou les plus rebels s’accrochent au skateboard pour son image et son attitude contre-culturelle. Et, les quelques adultes fans de vitesse qui ne sortent leurs grandes roues d’inlineroller que pour des course sur route fermée ou il n’y jamais besoin de freiner. Bref, pour ma part, je ne rentre dans aucune de ces catégories, sujet qui donnera lieu à un prochain article dans ce même blog, affaire à suivre…
Bla bla blog
Difficile de ne pas tomber dans le cliché du bavardage inutile… Alors une seule chose à faire, partir rider ! N’écoutez pas ce blog et suivez votre instinct… LoL… Comme le disait Victor Hugo, « il vient un temps ou trop philosopher demande l’action » alors laissez tomber ce blog, prenez un planche ou des rollers, peu importe, et partez pratiquer ! Il n’y a que ça de vrai… Oubliez les préjugez, vivez votre truc, votre aventure, mais attention n’allez pas vous blessez… Ride smart ! Pratiquez intelligemment… pour moi l’essence même du free-ride facile réside dans la possibilité à pratiquer au départ de chez soi… Ou alors en voyageant de manière intelligente… ce qui pourra faire l’objet d’un prochain post du blog de freedownhill…
Le localisme
Et oui, c’est un phénomène bien connu en free-ride, on a tous un spot maison, une riding zone… Alors je ne sais pas qui est ce mec qui tag LOCAL un peu partout, mais en tout cas il insiste… Quel rapport entre lui et moi ? L’art de la rue, lui avec sa calligraphie, moi avec ma planche et aussi l’appartenance à un quartier… Tandis que le livre les garçons de l’été est en librairie la limite de la liberté de la glisse est là. Clermont Ferrand où es tu ? Une superbe session souvenir d’un local de Besançon ou j’avais déchiré les boulevards de Durtol et son coin… Comme quoi la glisse libre à aussi sa convention, pas plus que je ne peux me livrer professionnellement à ce challenge permanent qu’est la Free-bord ou le Roller… Il faut bien remplir le frigo également… Limitante ou stimulante ? La localisation impose la rencontre, de toute manière… C’est aussi cool comme perspective…
La machine à laver
En surf c’est un classique, la vague ferme, et vous embarque pour une session de lavage… Vous vous retrouvez avec du sable jusque dans la néoprène, après avoir été chiffonné par la puissance de la vague. Il est important d’avoir une excellente condition physique, de la même manière qu’il faut être capable d’enregistrer une chute sur le bitume ou dans la peuf. Alors pour être prêt, un simple exercice en piscine, tourner sur soi même en roulade à la surface de l’eau ou sous l’eau, ressemble un peu à l’effet du rouleau et de sa mousse… L’eau dans les narines, la désorientation, si vous n’avez pas les moyens d’aller à l’océan cet astuce vous donnera un peu le semblant des déferlantes…
Body mind soul spirit
C’est un item que l’on retrouve très souvent dans la culture du surf et du skate américaine, que l’on pourrait traduire par le corps, l’esprit, l’âme et la tête… Comme imbriqués l’un dans l’autre, ces quatre axes de pensée sont essentiels pour pratiquer la glisse, quelle qu’elle soit. Mais ici un petit schéma maison vous en parlera davantage qu’un long discours.

Skate prk
C’est le cas dans cette pastille vidéo, on peut constater que la fréquentation du skate park est un succès… Et pourtant, la communauté des skateurs, reste mal-aimée en règle générale, désavouée. Alors les parents de cette population nourrie à grand coup de Riding-zone et d’exploit tous plus extrême les uns que les autres, oui, ces parents sont donc confrontés à un dilemme, agrandir les skate parks ? Non, encore un investissement inutile… Mais alors les skateurs vont pratiquer en dehors des skate-parks, et nuire à la tranquillité de la voirie ? Non, d’après moi, et j’en suis le premier concerné, l’issue ne peut se faire que vers le haut, à savoir s’améliorer pour pratiquer en park ou dans la rue, toujours à un meilleur niveau, fléchir les genoux… être pleinement mobile sur sa planche… Anticiper, respecter, et partager l’espace public, comme dans le park d’ailleurs… Car la tendance au blocage n’est jamais de bonne augure… Dixit Orelsan & Gringe…
Singularité
Si il y a bien une chose à venir aujourd’hui, c’est la durabilité. J’ai su en faire preuve, car au fond, avec le feu du covid, c’est bien la crise climatique qui nous attend. Et depuis vingt ans, j’ai pu pratiquer le roller et la freeboard très très majoritairement en mode écologique. Sincère, marginal, certes, mais anticipant au maximum le problème climatique, j’ai évoqué la solastalgie (selon Glaway) dès 2006 dans un manuscrit intitulé « ça parle free-ride » peut être édité demain… Alors oui, on me qualifie parfois d’allumé ou de fou, mais pour être authentique, un rideur ne doit il pas prendre des risques ? Tant sur le plan de la créativité, de la sportivité ? N’y a t il pas un rôle important à jouer avec les changements brutaux que nous devrions déjà opter maintenant face au climat ? Seuls les free-rideurs authentiques sauraient ils prendre ? Pour limiter au maximum notre impact carbone et contenir les fournaises estivales ? J’en parle également dans « une glisse libre » la planète tout entière nous rappelle de bien rester honnête… Dans la vidéo qui suis, je donne un cours à une classe de Staps, qui entend parfaitement ma philosophie de free-ride… (Désolé pour la qualité médiocre du son, naturellement…)
Past présent future
Le glisseur imaginaire ? de Molière, Voyage au bout de la glisse ? de Louis Ferdinand Céline, Une fable de la fontaine à bière ? de Jean Baptiste Poclain ? Les fleurs du mâle ? de Charles Baudelaire ? Les dernier jours d’un son d’année ? de Victor Hugo ? Le malade gentilhomme ? toujours de Molière, Les stations dangereuses ? Chordelos de Laclos, Autant en emporte le sang ? Margaret Mitchell, Jimmy le magnifique ? Francis Scott Fitzgerald, Au nom de la pause ? Humberto Eco, Bonjour vieillesse ? Françoise Sagan, Bon baisers de rue si ? Ian Fleming, 8883 ? Georges Orwel, Extension du domaine de la chute ? Michel Houellebecq, La métaphysique des clubs ? Amélie Nothomb, L’écume des lourds ? Boris Vian, Le gland meaulnes ? Alain Fournier, Pour qui sonne le gras ? Ernest Hemingway, Les raisons de la colère ? John Steinbeck, La suggestion humaine ? André Malraux, Le peu tea prince ? de Saint Exupéry, Le pro c’est ? De Franz Kafka, Don Quichotte de l’océa ? Cervantes, Hobby Dick ? Herman Melville, Ce que le pour doit à l’ennui ? Yasmina Kadra, Cime ? Dostoïevsky, L’acoustique de la raison pure ? Emmanuel Kant, La mégève apprivoisée ? Lexus et numéro K-bis ? de William Shakespeare, La surfusion des sentiments de Stefan Sweig, Le cil anse de la mer ? de Vercors… L’archimythe ? De Paolo Coelho, Andromacintosh ? de Jean Racine, Pensions sous les bombes ? de Patrick Eudeline, La guerre des Bouchons ? de Louis Pergaud, autant de titre ou une glisse libre pourrait avoir puisée ces inspirations…

Life & death of the road
Et bien oui, les routes naissent, vivent et meurent pour renaître à nouveau, sous le coup des entreprises de Tp qui rénovent les goudrons. Comme les vagues, ou la neige qui vivent, il est original de noter que le goudron à sa propre vie également. Des routes que j’ai vu refaire à l’aube des années 2000 sont aujourd’hui toute pourrie. Comme la route de la convention, refaite en 2005, aujourd’hui impraticable quasiment. A noter que certaines routes, en Suisse, ne sont jamais refaites, tant la qualité du travail fourni est bon. Alors quand on trouve une route neuve, qui est praticable, c’est toujours un grand pied de pouvoir s’y engager…
Vincent Boucard Le film
Toujours sur ce concept de web réalité, voici un moyen métrage qui regroupe l’ensemble des pastilles vidéos de ce blog, autour de Vincent, votre serviteur, on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même. Et ici, pas de scénario, pas d’images époustouflantes, la simple réalité, ni banale, ni extrême. Un film chiant me direz vous ? Certes, cependant, avec un point d’orgue, la descente de cette fameuse citadelle en freebord, la freeboard, le skate à six roues… Et puis, les coulisses de cette perf, avec la muscu, les stretchings, l’entrainement, le yoga, toute la préparation nécessaire à arriver à ce remarquable exploit, mais discrète performance, qu’est sa descente en freeboard.
mountain wilderness
Parti en rando, les remontées mécaniques sont fermées, il faut bien battre le fer tant qu’il est chaud, skier la neige tant qu’elle est fraîche. Et c’est après une excursion de 70 km que je rejoins le spot… Il neige abondamment, c’est une journée formidable pour trouver de la neige fraîche. Je m’équipe rapidement, j’ai mon attestation de bloggeur avec moi, justifiant ma présence sur le spot. Même si je ne gagne pas grand chose avec mon blog, autant avoir des avantages sur mon activité d’entertainment puisque je suis autoentrepreneur… Je prend l’option sans sac à dos, pour une première et sans doute seule montée sur piquemiette : ça va envoyer dans la peuf… Il y a trente centimètres de peuf, et en montant je réalise que les fortes précipitations neigeuses ne vont pas simplifier le job des opérateurs de remontées mécaniques. Et c’est un pied formidable. Incroyable de pouvoir gagner la pente grâce à ma propre énergie… Ressentir l’effort, réaliser l’effort… souffler du stress quotidien, écouter le silence de l’averse de neige, la solitude au milieu des pistes de ski, la montée est un plus grand plaisir que la descente, trop vite avalée, trop facilement gagnée. La montagne en liberté comme on l’avait oublié.
Le skate à t il un rôle social ?
Le skate à t il un rôle social ? Vu le prix d’une planche de skate de bonne qualité, c’est certain, nous sommes loin d’un séjour au ski ou à la mer… A moins de résider sur place pour profiter des meilleures conditions des éléments, vagues ou neige, il faut sacrement investir pour s’investir, et notons le, toujours à perte dans le free-ride… Des plaisirs onéreux… Naturellement, en ski, difficile de faire une journée à moins de 100 euros, et en surf, à peine moins cher, quoique… Et c’est sans compter sur le matos ! Des skis, un bon surf, ça va s’ajouter encore pour culminer à des tarifs prohibitifs alors qu’un skateboard coûte avec une qualité déjà honorable : 80 euros ! Ensuite, tout vous sera gratuit, les skates parks, les rues, il ne vous en coutera rien pour pouvoir s’engager dans les figures plus techniques les unes que les autres… Je peux donc l’écrire ici, le skate à bien un rôle social dans les sports de glisse, cependant, revers de la médaille, c’est aussi un sport qui blesse le plus… Contrairement au surf ou au ski… d’innombrables quartier des villes modernes ou même anciennes offrent des caractéristiques adaptées au free-ride urbain…
L’anniversaire du blog
Et oui, cela fait depuis 2019 que le blog de freedownhill est alimenté par votre serviteur… Créativité, sortie free ride, de ski, de surf (un peu), de skate (beaucoup) et de roller en descente… Alors comme tous les anniversaires, on se demande si on a fait des erreurs, ou si on atteindra ces projets… Mais déjà les crises à répétitions frappent à la porte ; Le covid, la sécheresse, la domination des sports business, le manque de reconnaissance du blog, la survie du projet est mise à mal… Donc l’avenir de ce superbe support qu’est le blog va passer par la recherche de soutien économique pour permettre sa survie, afin de continuer ce travail quasi hebdomadaire de synthèse, d’analyse et de restitution du freedownhill, la descente en liberté… Après tout, je vous lâche une info, avec 17000 followers, il faut quand même que l’aventure continue…
Aminogramme
Qu’est ce donc ? L’aminogramme correspond à la quantité de chaque acide aminé contenu dans une poudre de supplémentation nutritionnelle pour le sport. Vous le savez, la pyramide des besoins nutritionnels se constitue en sa base de sucre lents, de protéines, puis d’acide gras, autrement dit lipides, dans l’ordre décroissant de quantité de besoin. Personnellement, je trouvai important de vous restituer mon expérience d’usager des aminogrammes, puisque ces produits peuvent paraître compliqué, alors simplifions les choses. Il n’existe que deux grandes familles ; avant le sport ou après le sport. Et on le remarque dans le tableau ci joins où je détail la quantité mentionnée de chaque acide aminé. Naturellement, chaque marque à sa propre recette ce qui fait varier les dosages. Cependant, ces produits bien utilisés vont avoir un effet semblable à de la drogue, puisque vous ressentirez le bien être des endorphines libérées après le sport, accentuées par l’aminogramme. Attention, seul recommandation, ne jamais mélanger avec de l’alcool les compléments nutritionnels… En plus ces produits sont super bon et se cuisinent comme des pâtes à gâteaux, chaud en hiver ou froid en été…
L’originalité
De nos jours tout est mesuré, chronométré, volumisé, étalonné, toisé, estimé, jalonné, pesé, quantifié, qualifié, répertorié, archivé, comptabilisé, professionnalisé, étiqueté, dimensionné, fiscalisé, naré, protégé, code-barrisé, décrypté, légiféré, réglementé, structuré, prévisionné, cadré, cadastré, limité, nuancé, barré, scanné, emballé, filmé, codifié, palletisé, transporté, acheminé, normalisé, temporisé, casté, politisé, représenté, discourisé, analysé, économisé, interprété, manipulé, simplifié, éduqué, coaché, enseigné, marketé, fixé, assuré, appréhendé, décliné, segmenté, cotisé, imposé, épargné, emprunté, compartimenté, extrapolé, interpellé, inter-pratiqué, gouverné, fluidifié, dirigé, orienté, rationalisé, complexifié, compétitionné monnétisé, argentisé, spéculé, optimisé, transactionné, précisé, expliqué, cadré, rentabilisé, chroniqué, télévisé, médiatisé, sensualisé, suggestivé, dénudé, pornographié, déshabillé, facilité, rédactionné, potentialisé, cinématographié, interchangeabilisé, journalisé, accessibilisé, importé, exporté, marchandisé, proposé, inifugé, alarmisé, sécurisé, préparé, anticipé, stocké, répertorié, informatisé, hyperconnecté, logicielisé, big-datasé, méthodisé, contractualisé, placé, fliqué, agencé, architecturé, hypnotisé, adjectivé, psychiatrisé, diagnostiqué, mécanisé, mécanisé, mécanisé, stop : C’est pas pratiquable… Comment garder son identité, son originalité dans ce monde conformiste ? Même dans les snow-parks, tout le monde est pareil… Une véritable quête pour les meilleurs free-styleurs… Le seul véritable exploit, ne pas faire comme les autres ?
Blog & Politic
Et bien non, le blog n’est pas engagé politiquement, contrairement à tant d’autres sportifs qui s’affichent avec des politiques, ce ne sera pas le cas ici, à moins que certains écologistes repèrent le bon sens développé ici par votre humble serviteur… Je ne suis pas écolo, mais il faut bien reconnaître que ma pratique se fond à merveille dans un mode de préservation de l’environnement. De toute façon, il suffit de prendre la place de la voiture et vous avez tout bon ! Bannissez moi cette automobile de vos loisirs et vous n’en serez que plus heureux, indépendant de cette drogue qu’est le pétrole. Retrouvez vos sensations simple et heureuse d’un déplacement à vélo, vélo tradi et non pas électrique… Enfin ça devient lourd là on s’éloigne du skate…
Mythologic
Le rite de passage, le jeu antique rituel, comme une épreuve pour démontrer quelque chose, la tradition du voyage exacerbant la glisse, alors que nous faisons des centaines de milliers de kilomètre pour à peine une centaine de mètres hors norme… remettre en cause le déplacement… Aller où ? Prendre l’avion pour être bourré à Ibiza ? Toujours chercher à se déplacer pour atteindre l’essence même du déplacement, et pourtant nous savons tous pertinemment que ce déplacement est inutile, paradoxal ou incohérent voir corrompu tout simplement. Le free-ride ou l’art de se déplacer en glissant symbolise-t-il quelque chose ? Est ce une religion ? Un mythe ? La fuite de l’humanité vers un hypothétique ailleurs, vers un monde meilleur, alors que les meilleures sessions se font toujours au départ de son domicile. On ne montre toujours que les éblouissantes prouesses de certains rideurs, alors que vivre normalement et rider là où l’on est, en s’adaptant est beaucoup plus admirable, plus simple. Un voyage de milliers de kilomètre commence toujours par un pas. Confucius ou Lao Tseu ? Comment ne pas comparer le free-ride à la mythologie antique… D’ailleurs, narrer nos exploits frôle souvent le mythe, plutôt que l’objectivité réaliste…
Industrie du yoga
C’est un piège tendu par les médias qui rencontrent souvent la fougue de la jeunesse… Il faut savoir prendre du recul devant les exceptionnelles perf des professionnels et son univers perso… Voir oublier le spectaculaire complètement, et savoir faire les bons choix, avec les bonnes personnes. Pour cela, le mode du yoga, peut vous aider. Certes, je pourrai tomber dans le phénomène du gourou, péjoratif ou fiable, mais il n’en est rien, il reste à vous de parcourir votre propre cheminement d’expérience. Il existe des skates park, à mon époque, Bâle, par exemple, Lausanne, également, Paris, Marseille, ect… Tempérer son énergie, pour mieux la canaliser. Savoir d’où l’on vient pour comprendre où aller… Et pour la contemplation intérieur, on peut dire que le free-ride est un formidable outil d’épanouissement émotionnel, c’est le moins que l’on puisse dire. Bonne méditation à toutes et à tous ! Et n’oubliez pas ; Ouvrez vos shakras, faîtes vous plaisir avec votre board ou vos rollers…
Fitness tips
Hello à toutes et à tous, alors voilà encore un post inline pour ceux qui ont de la place chez eux, et un sol qui ne marque pas les traces de roller, vous pouvez chausser et vous entraîner à des exercices de maniabilité en patin… quelques trucs sur cette vidéo avec notamment le renforcement des appuis d’impact au sol, sollicitation des épaules, l’ouverture des bras pour l’équilibre, le contact au sol pour amortir les chutes et pour finir mon conseil ces exercices vous offrirons un renforcement musculaire pour être à l’aise en roller, renforcer la confiance et anticiper les chutes, être paré à sortir en roller !
Energy Drink
Il faut bien le reconnaître, on a autre chose à faire que de s’occuper des Red-bulls et autres energies drink… Année 2020, le réchauffement climatique, les conflits dans le monde, la situation politique, les pressions des grands groupes industriels, tout n’est pas idyllique, loin de là. Alors pourquoi parler des énergies drink ? Et bien pour une raison simple, c’est qu’il faut savoir boire sa red-bull au bon moment. Jamais mélanger avec de l’alcool, surtout pas. La caféine et la taurine ont un effet de stimulation de la réactivité de l’organisme, ce qui signifie qu’elle est particulièrement adaptée aux séquences de free-ride ou de free-style… Cependant, la mélanger avec de l’alcool donne un effet de masque de l’ivresse qui vous redonnerait envie de boire encore d’avantage, ce qui est particulièrement néfaste naturellement puisque l’abus d’alcool est nocif pour la santé, tout comme l’abus d’énergie drinks. Alors pour savourer une red-bull peinard sur le spot avant de se lâcher dans quelques slides de bon aloi, il faut aussi se rappeler que la situation de notre planète mérite aussi de remettre en question nos usages liés à la fête, donc un bon conseil, ne pas mélanger énergie drink et piccole, jamais
Les vagues hivernales
Vraisemblablement, le changement climatique me préoccupe beaucoup sur ce blog, puisqu’après le manque de neige, en moyenne montagne, il s’avère que les vagues sont elles de plus en plus grosses et régulière, sur la côte par exemple ou des sessions dantesques sont de plus en plus fréquentes… Alors je le rappelle ici, et je m’en rappelle aussi, il faut savoir nager pour faire du surf ! Oui, c’est peut être un détail pour certain, mais on ne distingue toujours que le surfeur évoluer avec une aisance déconcertante au dessus des flots, seulement pour arriver là, il s’est mis à l’eau avec sa planche et à nagé… Et oui, les surfeurs sont avant tout des nageurs, de surcroît à l’océan, ce qui ne facilite rien, en piscine c’est une blague, mais enfin oui c’est une Blague ! Donc, votre humble serviteur résidant à Besançon, l’entraînement en piscine est donc indispensable pour être à l’aise avec l’élément liquide et ne pas se barrer avec les dauphins comme Jacques Mayol à la fin du « grand bleu » de Luc Besson… Tout en chantant, à noter que l’université organisait un concours des chansons d’aventure… Des chansons de free-ride auraient pu être entonnée à tue tête pour rappeler que le free-ride demeure la seule aventure durable du 21eme siècle… Voilà mes chers followers et followeuses, c’est tout pour aujourd’hui on se retrouve vendredi prochain comme chaque vendredi !
Les musiques de film free ride
Une bonne vidéo de glisse, c’est depuis toujours des images, et de la musique… Endless summer, Puzzle, Apocalypse snow, All I can, What girls want, Walls of perception, Toy machine, White Balance, Whiteshine, Few words, la nuit de la glisse… D’innombrables réalisations ont abordées le genre et la réunion, le mariage entre la musique et l’action représente vraiment toute la coolitude existante autour de notre culture de la glisse… Alors sans tomber dans les clichés, il faut toujours choisir avec précision le son de l’image, pour couronner avec attention et délicatesse l’esprit du rideur, son intention, son émotion et son engagement… C’est l’essence même des musiques de film… Personnellement, je prend toujours un pied énorme à choisir et réaliser mes clips, afin de partager le propos, car oui, c’est finalement le point le plus important, le partage ! Certes, on aperçois parfois un rideur ici ou là faire son truc par hasard, mais le retour en vidéo constitue aussi un acte politique d’indépendance obtenu grâce à Internet, ne plus être tributaire des médias dominants et communiquer grâce au D.I.Y… Tellement plus réel et dénué de filtres… Et cela fonctionne, ce blog en est la preuve… Ici en vidéo, quelques extraits du festival détonation dont les artistes nous donnent ou créent parfois spécialement pour l’occasion… Fin du fin, certains rideurs composent eux même la musique de leur session, comme Tommy Guerrero ou Ken Krykler, tandis que d’autres dessinent, mais nous en reparlerons dans un prochain post… Pour conclure, comme le répète Tiga dans Riding zone, bon ride à tous ! (Et surtout pas bonne gaufre bande de petit cascadeur !)
Passage 2020
Le bilan 2019 excellent : Des sessions toujours plus nourries de technique et de sagesse pour rouler et glisser sur route, toujours plus lentement mais très sportivement, oui, c’est sportif d’aller lentement sur une pente tout en glissant… La littérature et son panard omniprésent avec un travail basé sur le récit, le roman, l’auto-analyse, ne serait-ce que le carnet des sorties aeronautic en roller… Bref, un blog en vitesse de croisière « cruise contrôle » avec plein de bonnes choses prévues pour 2020… Du free-ride, de la littérature… Sans doute ouvrir encore des premières en roller à Besançon, comme rouler sur certains passages de Chaudanne, la chapelle des Buis, les ragots, avec les plus fortes pentes en inline du Valais bisontin, mais respectant le code de la route, sans speed, langsam, et l’obtention quasi certaine d’une édition parisienne de mon recueil de poésie ‘une glisse libre », Flammarion, Gallimard, L’iconoclaste… Entre la vitesse foudroyante du passé de Raymond Carver et Viva las muchachas de Catherine Pancol, l’écrit de votre humble serviteur devra logiquement aboutir sur l’étale d’une librairie prochainement… Expérience contemporaine modeste mais consciente de ces contradictions, divertissement et paradoxe du travail des loisirs… A bientôt en 2020, vous êtes tous invités à prendre part à ce blog… Commentez, partagez, ridez ! La roue tourne comme on dit…
La couv média du blog
J’en parlais avec Bertrand Joliot de l’Est Républicain mi-novembre au sujet du relais presse ou média, de mon activité de blogging… Certes, on nous montre toujours le free-ride des grosses vagues, des pentes neigeuses, quand est il des villes ? Lorsque le nouveau skate-park de Pontarlier s’appelle « les Ouillons », j’ai envie de rappeler aux kids, aux ados skateurs, que la prise en main de leur planche et, un flip de board, entre la main droite et la gauche maintien les poignets échauffés, tout simplement ! Cela peut éviter des drames pour mes ados apprentis skateurs qui souffriraient sérieusement d’une blessure, pendant leur scolarité par exemple. C’est un détail tout simple, mais cela m’a personnellement évité de multiples entorses des poignets… Already wrote in this blog… Warming your hand will save your falls from big injuries… Achtung schnell achtung ! Ensuite, pour ce qui est de mon expérience à transmettre, et bien elle est dispo, ici, là maintenant ! Welcome on the blog again ! C’est les parents qui vont être content si les ados évitent de se péter les poignets en skatant grâce à ce flip de board déjà évoqué précédemment dans ces lignes…
Loisir industry
Zut mon usine ferme… Scheïze sorry, the plant close… Each time the factory was relocated in China, people were fighting against the lose of job… Des emplois disparaissent, un savoir faire se barre.. Kein arbeit für das lander… Et alors, depuis 13 années lumières du pupitre ; le sport des loisirs du tourisme, des parcs, des bien-naitres, d’Entertainment kulturel in town, avec des possibilités innombrables sur la Wiistabox… Glisse businness… Of course. Alors, on bosse, on s’amuse, vis versa, arbeit und spielt, working before toying before studying… Complex : L’or blanc des stations, on s’ennuie, la plage et ces bouchons, traffic jam and crowded place, certains aiment, people get on up, volk bewegungfreiheit… Tout est parfaitement réglé, et c’est très bien. Changer la société, c’est pas simple, ne pas s’ennuyer, et échanger avec les inconnus c’est le pied, monsieur « Jielt Guanes »… Un truc simple et efficace, le roller en ville ! ! Avec un gilet jaune pourquoi pas rouler en ville ou être visible… C’est un marché délaissé des villes Françaises, je ne comprend pas pourquoi, la société, la populace reculerait dans l’usage des patins à roulettes… Forgotten invention, invention abandonnée alors qu’elle est un outil extraordinaire, le rollerskate… 200 inlineskaters and more at the Friday meeting in 2004, this year 20. Donc si la France investit en Chine pour l’industrie, en retour, la culture Chinoise, ne devrait-elle pas se développer chez nous, en France, avec l’équilibre des sports urbains dla’gliss ? Pour ma part, votre humble serviteur de blog reste très profondément inspiré de cet idéal asiatique de sérénité… (autograph de vu van ka archivé normalement)
Influence of girls in extrême
Partir « faire » de l’eXtrême parce qu’on est seul, et pour séduire, ou, pour changer de femme, parce qu’elle ne vous comprend pas ? Bleiben oder reisen es ist das gefragt… Mon avis, j’ai toujours aimé l’action, seul ou accompagné. Mais on peut légitimement se demander si une femme, votre compagne, va vous influencer en vous poussant à l’extrême ou bien l’inverse ? Et quelles sont ses raisons ? Et bien il faudrait poser la question à mademoiselle pour savoir la réponse, en tout cas, on peut se questionner sur le rôle de ces dames dans le fait de pousser les hommes à aller vers le dépassement de ces propres limites…
All the french free
Free Julian Assange
Free dent
Free downhill
Free speech
Free solo
Free base
Free climb
Free pass
Free duty
Free access
Free Paf
Free style
Free party
Free cassée
Free cadele
Free time
Free jump
Free soul
Free ride
Free spirit
Free sex
Free record
Free fly
Free jazz
Free motion
Free surf
Free foot
Free mind
Free drift
Free word
Free sail
Free account
Free sing
Free happiness
Free mistake
Free fight
Free man
Free woman
Free child
Free world
L’argent du blog
Combien ce blog rapporte-t-il à son propriétaire ? How much this blogging businness would earn to vincent boucard ? Wie viel ist es für das blog ?
Considérant une expérience de 31 ans depuis mon premier skate, looking at my 31 years old experience since my first skateboard, mit 31 kraftwerk skate gespielung, avec des aventures extrèmes ou banales, with uninteresting stuff or amazing story, this weekly work would maybe reach more than a 12 pound/hour money amount ? Cette expérience vaudrait plus qu’un simple 10€/h au regard des expériences transmises dans son contenu ?
Comparant mon blog à la valeur d’un match de première ligue 1 bundesliga ou calcio de deux équipes durant l’hiver en milieu de tableau, beside the value of a football match between two team of european broadcasting match with a huge amount of money for only publicities ?
Et bien voici la réponse, well, here his an answer : le blog de Vincent Boucard aka « freedownhill.eu » coute environ 1500 €/mois. This blogging business earn less than 1935£/month, (because of Foreign exchange value…)
Les comptes et la fiscalité de Vincent Boucard sont accessibles au 09b Rue Charles Krug 25000 Besançon, loyer immobilier non compris. The comptability and fiscal uses are available at his French legal adress, 09b Rue Charles Krug 25000 Besançon. (the legal french adress belonging to Boucard family, isn’t include in this price)
Le cul des caisses de bagnoles
Sacro-sainte automobile… Indispensable pour rejoindre la mer, la montagne, le park, les pays lointains… le supermarché ou l’agence d’intérim… Quel dépaysement ! Alors l’invention du stickers comme un art à part entière, ou un marquage de territoire, un panneau indicateur ou une publicité, un pense-bête, un peinture rupestre shamanique, le timbre fiscale de vignette, la tendance à ne pas suivre, la traçabilité des stations… Adrénaline : Coller ce célèbre sticker « j’aime ta femme » sur sa Lamborghini ? Mais pour le skate et le roller, faut-il faire de la route pour faire de la route ? En ce qui concerne le triste auteur de cette sinistre question, et bien, il préfère emporter un équipement, un seul, léger, moins de 10 kilo, pour évoluer ensuite dans l’environnement urbain de destination… Pour ma part, je crois que les trottinettes élec ont de beaux jours devant elles. « j’aime le nucléaire ?» Oui, c’est une extraordinaire invention. Mais faire de la route pour retrouver une route ne serait-il pas déjà une gageur ? Je vous abandonne à cette question, ma compagne à déjà la réponse.
Les cheveux des filles…
La vie urbaine et le Ride des pierres artificielles de nos trottoirs, nos rues, avenues, boulevards… (et non pas les rides de la peau…) Autant d’espace où nous pouvons trouver la présence permanente des personnes qui peuplent la cité. Et hasard de la technologie, la mécanique des roulements d’inline recueille très régulièrement, et presque à chaque sortie, des cheveux longs qui se coincent dans l’axe des roues du patin… Mademoiselle, pourtant élégante, gracieuse et féminine, inébranlable, (c’est la cas de le dire), sur sa démarche épanouie déterminée, semble perdre des cheveux… La vidéo ci-dessous et un exemple de rangement de caisse à outil, utile pour le nettoyage du roller ou les amas capillaires sont très régulièrement retrouvés coincés dans l’axe des roues. En gros, si l’envoûtement érotique des femmes est si puissant, c’est parce que les roller recueillent les cheveux cassant, pointes fourchues, mèches abimées… Mais pourtant, Question : Comment perdez-vous vos cheveux en ville mesdames ? La frénésie de la carte-bleue, peut être…
Grande heure nature
Le festival de l’Out-door de Besançon, quel autre sport out door que le roller ou le skate en liberté ?
Un sujet qui se passe d’explications… Un terrain de jeu infini, un labyrinthe de pistes… Gratuit au départ de chez soi ! C’est la vie en vrai…
Traît d’union montagne / océan
Besançon est-elle La capitale du freedownhill ? Pourquoi ai-je choisi ce pseudo en 2001 inspiré par les chewings gum Freedents et le site Inlinedownhill.com ? Est-ce que le meilleur spot de free-ride downhill Français serait la citadelle de Besançon ? Pourquoi la psychologie des citadins représente-t-elle un vrai danger tout comme les requins ou les avalanches ? Est-ce que je vis au cœur de la cité ou est-ce un vrai amusement de pratiquer cette glisse ? La valeur de dépassement de soi dans la glisse sans écraser son adversaire sauvera-t-elle le monde ?
Autant de questions sans réponses…
Donc oui, les sports de glisse urbaine sont bel et bien un véritable trait d’union entre les traditionnels sports de surf océanique et de ski montagnard…
Web réalité
La vidéo, liée plus haut, à été réalisée à l’automne 2014 alors que TF1 ou NRJ12 cherchait des candidats pour créer du divertissement. J’envisageais ma participation parce qu’après de multiples efforts individuel en littérature, ce qui est normal car on écrit souvent seul, je croyais pouvoir apporter quelque chose à ce type d’émission. Aussi, avec mon passé en Free-ride, j’avais déjà un website « freiheit » personnel en ligne qui communiquait sur mes activités, mais un solitaire sans budget dédié, entièrement à son évolution, ne pourra jamais être aussi bon qu’un véritable pro. Ce qui est mon cas ? Ce n’est pas la question. Alors, avec ce message vidéo, j’espère que la télé-réalité ne sera plus jamais un enfermement psychiatric, et que la valeur de mes produits multimédias suffira à mettre en lumière mon train de vie fantôme…Ah, j’espère aussi que le player vidéo ne pausera pas trop en streaming, sinon, il faut que je recontacte mon hébergeur, et, si vous avez d’autres suggestions n’hésitez pas à me contacter pour le service qualité ! Le son est pourri, pardon, mais cela reste un document de franchise et d’honnêteté, pour une candidature à la téléréalité…
Les festoches familiaux de la fin d’année…
Enfin le moment traditionnel est arrivé de retrouver les parents, les cousins, la grand mère, enfin tout le monde autour de cette célébration catho qui voudrait que Noël se fête le 25 décembre… Pour moi un Noël sans neige c’est moche. Et puis, des cadeaux que je ne désire pas, puisqu’avec mes parents c’est noël toute l’année… Alors où est madame Noël ? Ensuite arrive la beuverie du nouvel an, et ce changement symbolique de chiffre sans que rien ne change dans la vie, à si oui, un nouvel agenda 2019… Bon, vous l’aurez compris, moi je pense que la tradition de partage aura encore du mal à effacer les conflits, et que tout le monde se drapera dans un sourire de circonstance histoire de croire que tout va bien. Oui, pour moi tout va bien… Une belle année de free-ride urbain, et aucune chute grave à signaler, merci Père Noël !
Phénomène mortel
La liste des disparus est longue : Sara burk, Karine Ruby, Régine Cavagnoud, Eddie Hakaw, André Pierre Rehm, Jay Moriarty, Jourdain, Sam Towbridge, Sam Jackenthal, J-p Auclair, Bruno Débauché, Andy Irons, Marco Siffredi, Malik Joyeux, Tristan Picot, Andréas Franson, Neal Valiton, Erik Roner, Elio Canestri, la liste n’a pas de fin. Alors, pas d’oraison funèbre, discours où autres conneries, juste une pensée pour ces disparus du free-ride, de l’extrème. Pourquoi ? Parce que la vie est une putain de drogue, dont nous sommes addictes au point de trouver la mort. J’hésite toujours à considérer comme des heureux veinards le firmament des rideurs, ou les victimes de la bêtise humaine la plus absurde. Pour leur mémoire, par respect pour leurs proches, je vais me taire, et repartir bosser d’abord, rider peut être.
