Roller Derby Nest

Les états unis d’Amérique, nous ont gratifiés d’un bon nombre d’inventions toutes étonnantes, pratiques, fiables, précises, entre autres ; le Kitchenaid, la Jeep Wrangler, Windows, Coca Cola… Et le Rollerderby. Cette pratique sportive, est essentiellement féminine, chaussé de roller quad, le patin originel aux quatre roues disposées en carré, plus facile à construire que l’inline, et surtout plus stable, sur le modèle de la remorque. Les règles, sont une sorte de mystère, particulièrement compliqué, renvoyant à des rôles qui n’ont toujours pas été traduit en Québécois ; Jammeuse, Bloqueuse, qui doivent franchir des barrages d’adversaires, dans un anneau, avec une prison, et un arbitre au centre, pendant un temps chronométré, le tout en mouvement… Les pratiquantes renvoient la plupart du temps à un livre explicatif des règles, stratégies, tactiques, qui apparaîtrait comme un bon pavé à lire. Un point amusant, serait le surnom du girl power traditionnellement détourné vers un truc subversif, amusant, ironique, tendancieux, original pour chacune des joueuses. Alors, comparé au free-ride, on pourrait croire que la psychologie féminine géniale des USA, aurait choisie de créer un jeu plein de règles, à l’opposé des évolutions masculines de free-ride qui n’en comporte aucune, (excepté ne pas se blesser, quoique parfois certain l’ignore franchement surtout aux USA…). Et donc au lieu de tomber au sol et se faire mal, les filles dans leur très grande solidarité ont choisies de se faire mal entre elles, en se donnant des coups comme au ruguebbie. Si on rajoute la règle de la ligue, pour organiser les matchs, sur la règle des rencontres, le match en lui même, c’est les poupées russes de la réglementation puisque le Rollerderby se pratique malheureusement en club. Ma bloqueuse, jammeuse préférée, pourrait être l’extraordinaire, aux perf de roulage de patins confidentielles et accessoirement classées x, Nicolette Shea, âme sensible s’abstenir, prononcer en Français peut être « chez ». En conclusion certains sports féminins seront toujours d’une complexité admirable pour tout gentleman qui se respecte, avec la pastille vidéo extraites des archives du club Voodoo Vixens, bien remercié avec une bonne claque sur les fesses, toujours plus sympa qu’un slap au sol.

Biofreeze

Ce produit est un spray accessible en pharmacie sans ordonnance, depuis 2016, proposé par les laboratoires Performance Health. Pourquoi présenter ce spray ici ? Et bien deux raisons, la première reste que les pratiquants de roller et de skate les plus sérieux savent parfaitement qu’en dehors d’une compétition rémunératrice à couteaux tirés, une simple chute de balade va corporellement s’amortir de manière inévitable au niveau des hanches, ou des fesses, si vous atterrissez tranquillou de profil ou de dos. La chute de face reste possible bien évidemment, toutefois les mains, ou les avants bras si c’est vite, morflent la plupart du temps au contact. Résultat : Contusions, hématomes, élongations, légères foulures, ne pas encombrer les urgences pour des bobos, cela va de soi. Biofreeze est prévu pour : « atténuer temporairement la douleur en cas d’affection bégnine, telle que douleur musculaire, articulaire, maux de dos, luxations et entorses ». Attention, le spray est exclusivement destiné à une application cutanée, 3 à 4 fois par jour sur la zone douloureuse. Mais, d’abord lisez la notice ! Ne pas appliquer sur les plaies, ni les hématomes. Puis, consulter un médecin s’avèrera nécessaire en cas d’aggravation ou stagnation des symptômes. Il s’agit bien de prendre en compte un trauma bénin, toutefois sensible. J’ai personnellement utilisé Biofreeze avec succès dans des sensations de raideur dues au contact maladroit avec le sol de notre belle planète. Rassurez vous, je ne montrerai pas mes fesses sur mon blog vidéo, ni rien d’autre d’intime d’ailleurs. Et la deuxième raison de cet article Biofreeze ? Et bien aux prémices de ce travail blogguistique, en mars 2019, un échange d’email avec le service commercial de Biofreeze, super sympa, me gratifia du spray, utilisé depuis, avec comme renvoi d’ascenseur prévu, le topo que vous venez de lire. Malheureusement, j’ai abordé un article prioritaire dédié à la thermosensibilité et nos capacités d’adaptation, laissant longtemps aux oubliettes ce deal pour des raisons indépendantes de ma volonté, ce qui est aujourd’hui réparé ! Ensuite, la confidentialité de ce placement produit ne soulèvera pas davantage les notions de coûts et valeurs relatives à ce type de contrat amiable informel et approximatif. Même si la Cnil surveille les « influenceurs » vantant le botox ou les pratiques de la médecine borderline, par exemple, les notions de rentabilité numérique sont aussi complexes, opaques, piratables, nécessitant peut être un Doliprane pour le mal de tête ? (deuxième placement produit, c’est cadeau…) Un prochain sujet économique à part entière sur le blog ? Avec l’aide d’un paradis fiscal anonyme et des Urssaf du Limousin, on va bien se marrer… Et rire, c’est déjà une forme de thérapie face aux blessures de la vie. Rester prudent en free-ride, ce n’est pas parce que Biofreeze marche plutôt bien qu’il faut se vautrer exprès !

Pollution d’uréthane

La glisse urbaine au départ de chez soi revêt un nombre d’avantages certains. Toutefois, il faut considérer à l’usage de nos très chers roller et skate, une seule et unique pollution lors de leur utilisation. En effet les roues dans leurs phases de glissement génèrent une poussière due à la dégradation de leur structure, lors de l’abrasion sur le goudron, rugueux la plupart du temps. Si l’on excepte les emballages agroalimentaires consommés durant un exercice de déplacement destinés à alimenter le pratiquant en énergie, toujours en roller et skate, vous noterez sur la vidéo de ce post, les résidus visibles accrochés au bord des roues d’inline qui s’amoncèlent à chaque session. Alors que devient cette poussière d’uréthane ? Sans doute lavée avec les eaux de pluie, elle rejoint les eaux des bassins versants alluvionnaires pour constituer une pollution en micro particules, à condition que sa structure ne se désagrège pas d’avantage en nanoparticules. Certes, les poussières de gommes automobiles et plaquettes de freins, sont d’une quantité considérablement plus importante lors des mouvements routiers indispensables au fonctionnement de notre société moderne, mais aussi encore plus fines, et donc inhalables. C’est une odeur autoroutière que l’on reconnait bien sur les périf’… Visible sur les jantes aluminium noircies des véhicules roulants. Reste qu’en comparant l’urbain avec le montagnard ou l’océan, les skis et surf génèrent eux aussi des quantités de pollutions beaucoup plus importante que la sortie de patin ou de skate depuis son domicile, c’est indéniable. Pour conclure, un atout persiste dans l’entretien de son roller, puisque lorsque vous retournerez et équilibrerez vos roues, il sera possible de récupérer une frange de ces résidus pour utiliser la poubelle grise !