Connection link

Surf sur Internet ? Périmé ? Les multiples bases de données peuvent effectivement compliquer les transmissions d’infos, pour le sport free-ride, free-style. Vous trouverez dans cette pastille vidéo, un témoignage expliquant les liens d’une recherche de financement, d’une multiplication des bases de données, des dilutions de messages, des compréhensions, des vitesses d’acquisition, des études potentielles, des accessibilités, des consciences décrites, d’une structuration… Par le webmaster de ce site, de ce blog. Aussi, certains articles ou vidéos ne sont pas forcément très compréhensibles, ou explicites, il convient naturellement de laisser un commentaire, ou poster un email au management. Les explications seront livrées soit dans un prochain article, soit en réponse commentaire. Ici, Youtube et le compte youkounkounbluediamond sont utilisés en parallèle de ce blog et database, proposant des réflexions futures ou joindre les diffusions passées, avec votre propre connection. Enfin, les personnes ayant soutenu et aidé la réalisation de ces sujets auront peut être une surprise prochainement ! Encore merci à vous…

chau mar class hic

Le réchauffement climatique et la décroissance de l’énergie solaire… Ce sont deux directions opposées. Comme toute démarche RSE, responsabilité sociétale des entreprises, utiliser un véhicule routier pour de la route doit rester particulièrement rare dans le cadre de glissonomie éthlétique. Alors plusieurs infos dans ce documents, avec renfort vidéo. Comparaison entre le style speed, alternant recherche de vitesse en position quasi foetale, et le freinage en gesticulation acrobatique. Et, le style free-board dont la cohésion reste en mode alpha très mobile, sûre. L’homme de Vitruve ? Prisonnier de son volant, libéré par l’entretien de ses roues. Un carré dans un cercle, l’homme en mouvement, en construction. Dans les deux cas, la destination est atteinte, boxe à l’arrivée du slide. (en cas de chute). Donc, faire preuve de discipline dans la technicité de n’importe quel engin à roulette est indispensable. Rappel routier, le bibi-bob en concurrence avec les trottinettes, réinvente la voiture sans moteur. Un objet hybride, assis, comme la street luge. Sans flexion genoullière, mais l’abdominalisme. Systématique, en commun, l’amorce du freinage, serait slalommée. Décrocher un slide brutal en transition extrême ne concerne pas les pratiquants présents ici en exemple vidéo. D’autres compréhensions à venir toujours sur le blog. Et d’ailleurs, cette langueur douce à à atteindre le glissement est un moment attendu, recherché, préparé, étudié, engagé lors de nombreux free-ride. Reste la question de ce terme Anglais, utiliser sa voiture seul pour rejoindre le spot est préjudiciable en carbone, mais fermer une route pour la sécurité relève d’une complexité logistique avérée. Pour la vitesse ? Les pressés aimeront les casques, les brushings stylés sont aussi décoiffant. Les spécialistes sauront démêler la cinquième saison à venir, entre chaud et froid.

Surf People

La réalité dépasse parfois la simple fiction, ici nous abordons un sujet cher aux locaux Basques et Landais, la surpopulation des plages par les hordes de surfeurs inexpérimentés… Le temps d’un week end, celui de pâques, je me téléporte comme un très grand nombre d’entre nous rêvant d’un idéal. Oui, ce mythe du surfeur heureux dans quelques déferlantes puissantes, doué de cette cinématique en glissement sur une eau iodée… Vendre du rêve fonctionne bien, visiblement dans cette vidéo, vous verrez qu’un grand nombre de clients ont cédés à l’appel de cette chimère ! Combien sont ils ? Je vous laisse le soin de compter. Plusieurs facteurs rentrent en compte dans ce phénomène semblable à la cohue des remontées mécaniques les samedi et dimanche d’affluence aux télésièges montagnards. Plage accessible, vagues raisonnable, synchronisation de la houle et du week end, tout est réuni pour que la foule se débatte dans une affluence record sur la côte des Basques, et sa célèbre villa Belza constate qu’il restera particulièrement compliqué de pouvoir surfer ce jour. Que faire ? Sortir de l’eau et repartir skater, certain de ne pas avoir d’encombrement sur un spot désert, ou s’obstiner et tenter de chopper quelques vaguelettes à ces homologues surfeurs mondains, quand les affluences au pic ressemblent plus à des réunions des surfeurs anonymes ? Alors je reste solidaire, nous sommes tous des surf peoples, des réfugiés migrants d’un monde tristes de boulots pénible vers une civilisation occidentale faite de plaisir et de bonheur, à la recherche de cet illusoire paradis un jour promis…

La piste, une machine ?

Depuis 30 ans, je parcours cette pente régulièrement les hivers dotés de neige, et je me sens comme chez moi dans cet environnement dont je connais les moindres recoins. C’est l’avantage de l’expérience, vous connaissez finalement la piste comme une machine de salle de sport. Première descente, franche en sortie du télésiège, replat, puis une deuxième bascule sympathique, suivie d’un long replat légérement descendant, avant d’engager le sous bois, et son aspiration progressive, pour déboucher sur l’enrochement et la partie la plus funky du tracé, avec un entonoire très sympa, puis bifurquer sur la gauche pour rejoindre le replat des remontées mécaniques. 3 minutes 30 et la descente est avalée sans effort. C’est un moyen de mesurer sa forme, dans la manière dont on aborde ce tracé inchangé durant les décénnies, pour évaluer ses aptitudes, sa technique, son souffle, bref, un révélateur ! Comme un ami que vous n’avez pas vu depuis longtemps qui évoquera les vieux souvenirs de jeunesse…

the best trick

Les afficionados du skate le savent, le best trick, la meilleure figure, est toujours plus d’actualité depuis que le skate est devenu une discipline olympique. Les concours de « best tricks » sont ou ont été fréquent, mais qu’en est-il de votre serviteur ? Et bien, pour ma part, en libre glisseur de mon état, pas de voltige, non, ce n’est pas pour moi, mais un clin d’œil, le flip de planche au dessus de la tête… Ce trick est venu de mon échauffement, immanquablement je fais tourner la planche dans mes mains pour garder les articulations chaudes et prompt à encaisser un choc au sol, et le flip de planche s’est imposé de lui même. Alors au dessus de la tête, c’est juste pour préserver un peu l’esprit de défi, mais surtout la créativité, car ce trick n’est pas très compliqué. Reste juste à garder l’imagination active, et ce n’est pas toujours une mince affaire… J’avais adressé cette pastille à Jonathan Politure pour Riding zone, je n’avais jamais vu personne le faire alors je lui ai proposé, mais il n’a pas donné suite, je la poste ici…

Music courtuaesy used from Rachid Taha « Verité Verité »

Atelier frein

Exercice simple, apprendre à freiner en slide… Comme en ski, on ne peut pas s’arrêter net à la manière d’un véhicule. Perso, grâce à Lionel Cattier, Natan Lakonishok et mon analyse de ces styles en descente, j’ai découvert une méthode de glisse très progressive qui à fait ses preuves, le glissement alternatif. Sur les images que vous allez voir, il s’agit de faire glisser le patin intérieur dans une courbe, en attaque active de glissement. Le geste anticipe la raclette traditionnelle, pas le plat au fromage, mais le freinage par glissement passif, le pied en arrière. L’avantage de cette méthode est simple, c’est la voie du freinage canadien en slide complet, puisqu’il s’agit d’un slide actif. Sur ces images, à plat, vous noterez que je ne fais que glisser le pied intérieur et en fonction du ressenti, le freinage sera plus ou moins fort à l’appui. Méthode qui à fait ces preuves, encore faudrait il le rappeler, j’ai plus de vingt ans de roller dans les guiboles, et aucun accident grave, excepté quelques petits contacts au sol, ce qui est normal en roller. Et je n’aime pas me vanter, mais il faut bien reconnaître que l’expertise est là, accessible et humble devant la chute, puisque l’on me le fait remarquer… Sur ce, n’oubliez pas de trouver un spot au goudron lissse, c’est plus facile dans de bonnes conditions, je reviendrais sur cette question dans un post ultérieur… Allez bon ride à tous les soul surfeurs, ce n’est pas parce que l’on est en hiver que les routes ne sont pas sèches pour le downhill !

rando populaire

Et bien il est bon de perpétuer cette tradition des rendez vous de début de week end, en été, pour nous retrouver entre aficionados de la roulette afin de pratiquer pour une balade populaire en ville… Seulement, quelques détails heurtent ma sensibilité et mon libre arbitre… Nous arrivâmes à trois, pour rejoindre le collectif. D’emblée le président de l’ASEB, « génératrice du mouvement roller » nous averti, « vous ne pourrez pas faire la rando, vous ne portez pas de casque. » « la rando est déclarée en préfecture » très bien… Mais pour quelle raison le casque serait obligatoire alors que cet accessoire ? Il ne l’est pas pour les adultes réglementairement et pour les vélos, par exemple. D’autre part, vous n’êtes pas sans savoir que je porte une grande attention à la sécurité active et j’accepte volontiers de porter un casque lors d’événements dangereux, comme les compétitions ou certains free-ride… En cohérence avec mon évolution. Mais pour une simple balade, franchement, les protèges poignets obligatoires serait plus pertinent. Alors, rando déclarée au préfet, ok, mais de quel droit un président d’association décide-t-il d’une législation systématique, excluant de facto mes amis et moi du mouvement roller ? Il n’y a déjà pas beaucoup de monde à cette réunion, alors si en plus le mouvement impose des protections inutiles au libre arbitre de chacun… Et au contraire, les enfants qui participent à cette « balade » portent bien le casque, (et c’est normal) mais eux finissent sur les genoux à moulte reprise, exténués d’un trajet de 15 km ou plus, tombant et finissant dégoûtés pour longtemps du rollerskate. Je le constate presque à chaque fois… Certes il bon de perpétuer cette tradition, mais faire preuve d’ouverture d’esprit tout en restant raisonnable serait de bon augure pour la vie mondaine du roller Bisontin non ? Vie mondaine du roller indispensable à la société des sports de glisse urbaine… C’est tellement cool de se retrouver en groupe pour patiner pourquoi faut il encore exclure des pratiquants avec des règles tombées de nul part, voir fausses… Perso, je ne crois pas que le casque systématique soit une solution, je l’ai prouvé à d’innombrables reprises, tombant sur les mains et les genoux. Mes chutes ça sert aussi à ça… Et si l’ASEB exige (en la personne de son préz’) le casque, ne serait-ce pas parce qu’elle manque de confiance en elle ? Pas de confiance, pas d’épanouissement, et porter un casque lorsqu’on a rien dans la tête s’avère inutile… LOL !

2 Salles 2 Ambiances

Le domaine de Métabief c’est un peu ça durant cet hiver avec le Covid ; 2 salles 2 ambiances… D’un coté Piquemiette, pistes non travaillées, petits glaciers formés par les canons à neige servant de kick aux voltigeurs les plus marbrés… De l’autre des pistes travaillées, des touristes en grand nombre, des randonneurs en baskets, marchant sur le bord des pistes… Bref un coté montagne, et un coté parc d’attraction… J’étais monté comme lors de ma première session, en snowblade, l’objet en forme ski court. Sac à dos, chaussures de skis, snowblade et baskets crantées suffisent pour la randonnée coté Métabief. En effet le snowblade me sert de baton et ça passe crème… Enfin, juste un bémol coté Piquemiette, l’usure de la montée à la force du jarret impose d’être plus vigilant en descendant, ce n’est pas le même sport qu’avec les remontées mécaniques, c’est certain. A ma grande surprise, j’étais totalement seul sur Piquemiette, avec les traces de Chamois et de Lynx… La fraîcheur délicieuse et l’effort long de la montée à pied… Puis la bourre d’une grosse adrénaline en redescendant avec les guiboles rincées… Vraiment le ski de rando n’est pas un sport facile…

night session

Cette séquence est un extrait de ce qui se passe la nuit sur certaines avenues… Pendant que vous dormez ou que vous essayez de trouver le sommeil. Avec mon travail, j’ai souvent des décalages dans mon sommeil, ce qui m’amène à me réveiller tôt ou m’endormir tard. Et par conséquent, je profite de l’abandon nocturne des avenues de la ville de Besançon pour m’épanouir personnellement dans la pente, laissée quasiment vierge de toute voiture… C’est toujours un vrai délice que de profiter de ce moment de solitude pour s’adonner à la glisse urbaine, en toute discretion. Et puis il faut bien admettre que cet usage de la route est une vrai révolution dans le domaine des sports de glisse. Si après tout on surf des grosses vagues, on skie des pentes neigeuses, on peut aussi skater des routes du quotidien, à condition évidemment de respecter le code de la route.

Half pipe

C’est l’arène immanquable du roller et du skate, le half pipe… En France on est plutôt mal équipé pour ce genre de rampe, il n’y en a pas beaucoup, du coup il faut se taper des bornes pour la trouver la rampe. Et une fois dessus, il faut savoir tenir ! Mon conseil, monter par le bas, en s’échauffant, c’est toujours plus cool de rentrer dans le pipe par la petite porte, et accéder au coping, la barre de slide… Perso, j’aurai adoré faire ce type d’acrobatie, mais les rampes étaient bien planquée, alors je n’ai jamais vraiment cherché non plus. En tout cas les mini rampes elles, sont pléthore en France, et il est facile d’aller se taquiner peinard sur le mouvement perpétuel, alors faites-vous plaisir !