web searchin’

Alors, les accès à d’innombrables références sur le monde, les bases de données, les possibilités proposées en cohérence avec vos potentialités, sont réelles sur Internet. Une masse, un volume d’information tellement puissant, que tout mensonge restera dramatiquement préjudiciable. Pour le skateboard, la recherche décrite ici en vidéo correspond à une innovation, imaginée grâce à la coïncidence des conceptions et personnalisations d’outils de free-ride. Le recyclage des pièces détachées, la qualité pour la sécurité. La préparation d’un modèle nouveau… La difficulté dans ce terme de « surf » sur Internet demeure très discutable, et pourrait être inadaptée. Seul avec son interface numérique demande une adéquation des informations en votre possession et leur usage en questionnement. Le tourisme numérique, découvrir les pays lointains sur l’écran, le dossiers artistiques sportif de personnalités reconnues dans des disciplines précises, Le Bon Coin ou Ebay, les compagnies internationales proposant des produits neufs, des curriculums-vitae ou des projets administratifs publics ou privés, la mise en relation après échanges concerté et concilié, les compétences médicales en cas d’urgence ? Comme Tinder, « the nurse made headline », traduit sans usage du web par l’infirmière fait les gros titres. Donc, plusieurs webs, plusieurs philosophies, plusieurs cultures, plusieurs pays, plusieurs personnes mais aussi ces étranges réponses de moteurs de recherches qui n’ont pas de cohérence avec votre demande. Lorsque la requête est effectuée sur le net, on ne peut pas en faire une autre. Chaque petite chose après chaque petite chose, comme le disait, monsieur Steve Vai. Ecoute, étudie, lis, analyse, apprend, patiente, répète, interroge, écrit, parle, film, corrige, structure, dessine, communique, traduit, programme, prévoit, diffuse, annonce, informe, et, dans tout cela, la notion de surf n’existe pas. Reste, un humain, capable de l’ensemble des pensées, actions sur le terminale numérique, la pensée est-elle une liberté semblable au surf ? Mais pas l’usage de l’internet. Et si le gars ou la surfeuse disparaît sous l’eau, c’est sans doute à cause de l’alcool, la drogue, ou l’inconscience sous de multiples facettes… Autrement, la pensée n’est absolument pas une glissage en mouvement, mais l’ensemble d’une quantité de savoirs et d’émotions, d’expériences, sur une ligne de temps et d’identité ! Nouées les unes aux autres, c’est assez compliqué et inutile ce topo non ?

Shoppin’ du futur

Le skateboard est un objet curieux dont l’architecture pourrait être schématiquement assimilée à un avion ; un corps unique, doté de trains roulants excroissants. Toutefois, les designers Californiens de la Freebord, dont monsieur Tioemm, réputé pour ces nombreuses recherches et développement sur l’outil qu’est la Freeboard avec des modèles parangonnés tous plus pointus les uns que les autres, fût à l’origine entre autre, de la « monkey grip » qui pourrait être traduite par la préhension du boloss. A force de porter cet objet destiné uniquement à la descente, deux voies d’amélioration s’offrent ici : Le châssis équipé d’une roue libre rétractable pour pousser comme sur un longboard traditionnel lors des tronçons de liaison, et, le porte-skate-amovible, création issue des bureaux d’étude de l’ingénierie confidentielle sur vincentboucard.com, illustrée par la pastille vidéo promotionnelle jointe à cet article… Ces pistes d’optimisation du quotidien restent prépondérante pour garantir la sécurité du pratiquant, nous le savons tous le diable se cache dans les détails. Ainsi, la roue amovible clipsable pourrait être en étude, suite à l’identification du besoin avec des concepteurs Américains plongés dans l’aluminium, ou le porte-skate, blague concrète, devrait constituer des nouveautés techniques dans les années à venir. Ou dû moins une mode, allez savoir ce qu’en feront les acquéreurs ? Ainsi, l’usage de cette planche toute marginale, devrait s’avérer facilité dans toutes ces séquences d’utilisation. Vous noterez également, qu’une planche de skateboard, contrairement à un avion, peut être utilisée en dérivé comme chariot de déménagement, support à plante grasse d’appartement, siège s’assise feng shui, et même, machine de salle à fitness…

Pollution d’uréthane

La glisse urbaine au départ de chez soi revêt un nombre d’avantages certains. Toutefois, il faut considérer à l’usage de nos très chers roller et skate, une seule et unique pollution lors de leur utilisation. En effet les roues dans leurs phases de glissement génèrent une poussière due à la dégradation de leur structure, lors de l’abrasion sur le goudron, rugueux la plupart du temps. Si l’on excepte les emballages agroalimentaires consommés durant un exercice de déplacement destinés à alimenter le pratiquant en énergie, toujours en roller et skate, vous noterez sur la vidéo de ce post, les résidus visibles accrochés au bord des roues d’inline qui s’amoncèlent à chaque session. Alors que devient cette poussière d’uréthane ? Sans doute lavée avec les eaux de pluie, elle rejoint les eaux des bassins versants alluvionnaires pour constituer une pollution en micro particules, à condition que sa structure ne se désagrège pas d’avantage en nanoparticules. Certes, les poussières de gommes automobiles et plaquettes de freins, sont d’une quantité considérablement plus importante lors des mouvements routiers indispensables au fonctionnement de notre société moderne, mais aussi encore plus fines, et donc inhalables. C’est une odeur autoroutière que l’on reconnait bien sur les périf’… Visible sur les jantes aluminium noircies des véhicules roulants. Reste qu’en comparant l’urbain avec le montagnard ou l’océan, les skis et surf génèrent eux aussi des quantités de pollutions beaucoup plus importante que la sortie de patin ou de skate depuis son domicile, c’est indéniable. Pour conclure, un atout persiste dans l’entretien de son roller, puisque lorsque vous retournerez et équilibrerez vos roues, il sera possible de récupérer une frange de ces résidus pour utiliser la poubelle grise !

L’inné contre l’acquis

D’après mon sentiment, l’échec des écoles de roller à former les pratiquants, car il faut bien le reconnaître, la très faible quantité de rollerskateurs démontre bien qu’il s’agit d’un échec, réside dans la volonté des instructeurs de roller à structurer les apprenants dans l’acquis, au détriment de l’inné. Les plannings de cours le démontre, avec des études approfondies sur la position du rollerman ou woman, les mouvements à avoir, les attitudes à choisir, ect… Avec en plus des conseils de passivité, que je déconseille formellement, (mains sur les genoux en descente… à proscrire !) Selon votre humble serviteur, il faut au contraire, déployer l’inné, le sens naturel de l’équilibre, en déconnectant complètement son système de valeur d’adulte, pour garder la créativité nécessaire à la sustainabilité de l’équilibre. En gros, pour rester en équilibre et lutter contre les chutes, il faut rester créatif ! Comme un gosse de 7 ans qui s’en fout et s’amuse… Si il est vrai que l’inné s’efface avec les années vieillissantes, il n’empêche que l’on peut s’amuser vraiment, avec un système de valeur enfantin, qui favorise l’action d’équilibre quand elle est considérée comme un véritable jeu. Et non pas cadenasser l’imaginaire des enfants dans une structure qui, manifestement leur coupe l’envie de faire du roller puisque beaucoup d’enfants sortis des écoles de roller abandonne cette pratique, vous comprenez maintenant pourquoi. Dans la vidéo ci dessous, du vélo d’appartement, le vrai !

Coach

Rien de tel qu’une session de coaching relax pour progresser et se remettre en question dans sa pratique, son évolution, sa propre vision du skate et son mental. C’est ce que je propose afin de partager mon expérience de plus de 15 ans de planche de freebord, et de plus de 20 ans de roller inline… Vous trouverez toutes les infos sur mon site www vincent boucard . com que vous connaissez déjà, j’en suis certain. Et puis, rien de tel que se retrouver autour d’une passion commune qu’est la planche à roulette ou le roller pour échanger et s’améliorer mutuellement… Je le répète encore, fléchir les genoux, être pleinement mobile sur sa planche, orienter son inertie avec les épaules… Bref des trucs qui nous concernent tous pour rester fluide et SAFE… Enfin, j’arrête sinon ça devient lourd je crois…

Quand porter le casque

Dans certaines situations il devient impératif de porter un casque, le downhill de haute vitesse en est l’exemple. Vous verrez dans cette vidéo des vitesses importantes de l’ordre de plus de 50 km/h, ce qui en compétition impose naturellement le port de protections adéquates. Alors dans ces circonstances, il faut adapter son mental à la pratique, et cette adaptation passe également par le port du casque. Contrairement à la simple balade, où le port de ce même casque n’est à mon sens qu’une protection inutile.

Free ride & Contest

L’opposition est radicale, entre les Jeux Olympiques de celui qui sera le plus haut, le plus fort, le plus rapide, le plus loin, et le plaisir pur, dans le dépassement de soi. Rien à voir. Personnellement j’ai tâté des contests, comme des free ride, et rien n’égale le plaisir du free ride. Alors, quel cadre donner au free ride ? Si la compétition est particulièrement relevée, bien structurée, et organisée, le free ride, peut lui commencer au départ de chez vous… Vous pouvez tout à fait envoyer du gros, prenons Candide Thovex, par exemple, au départ de chez lui à La Clusaz, il peut partir en free ride, et nous régaler simplement en le voyant passer en back flip sur Balme, alors que vous skiez tranquillement. C’est radicale.

Le point de glissement

Effectivement lorsque l’on roule, il y a un seuil avant de parvenir à glisser en roller. Je nomme cela le point de glissement. Certains vont le provoquer brutalement, avec un twist des patins net et précis à partir d’une assez bonne vitesse. Personnellement, je le recherche en douceur, lentement, avec délicatesse et progession. Simplement, au lieu de faire glisser les deux patins en même temps, je fais glisser l’un puis l’autre des patins, puis les deux en même temps si la vitesse est assez bonne. C’est très « safe » traduction, c’est sûr comme technique. Plus de risque de « ripper » et se retrouver au sol avec un point de glissement mal amorti des genoux fléchis. Important, il convient de diriger son avancée toujours en regardant devant soi, et non pas ses pieds. Le port de la tête, comme chez miss France ! 

Gangsta

Woh woh woh… Qu’est ce que c’est que ça ? Encore un post pour faire les beaux jours de ma psychiatre ? Parler de boire des bières et fumer des joins ? Quoi ? Que lire ? Pire que ça prendre de la coke et se taper des putes ? Certes, ponctuellement, rarement, on trouve un mec un peu Gangsta, parce que nous ne sommes pas au pays des bisounours, mais il n’y a pas que cela dans le free-ride… Des gars ou des gonzesses qui trouvent des sponsors, par je ne sais quel miracle, gardent un gros paquet de pognon pour aller jouer les rideurs pro et qui se pavanent ensuite sur les réseaux sociaux avec des films de free-ride vu, revu et re-revu… Des films toujours identiques, c’est aussi ça l’attitude Gangsta d’après moi… Allez je me tape une biscotte et faites moi pas chier avec vos conneries… Parce que là ce n’est plus une attitude c’est carrément une politique, extrême et tout le toutim… Rendez vous dans les urnes bande de tocards vous êtes les meilleurs… hahahahahaha…

Accident

Aucun accrochage, pas de traumatisme sérieux, aucune chute notable, pas d’accident responsable sérieux, rien, nada, que dalle. A peine une foulure ou une bricole lors d’une petite chute un contact au sol comme j’aime les appeler, mais rien, non, rien de spécial à mentionner dans ce registre. A si peut être cette vilaine cicatrice au tibia, dûe à un saut de barrière à la ferme chez mon padré… Mais là encore, il ne s’agissait pas d’une chute en free ride, mais d’un déplacement agricole… Il faut bien ajouter un peu de gore dans ce blog, c’est aussi la réalité. Et puis c’est le cas typique d’un polytraumatisme avec un accident domestique puisqu’avec l’égratignure, l’hématome et la brûlure, c’etait le combo gagnant !