Grande heure nature petit instant artificiel

Le festival de l’Out-door de Besançon est un creuset de paradoxes :

Un festoch payant pour nous rappeler que l’Out-door, commence dès que l’on sort de chez soit : profiter de l’espace public gratuit !

Un festoch ou des sportifs nous alertent sur le dérèglement météo grâce à leur vision de la nature, mais des sportifs qui usent toujours d’une voiture pour rejoindre la rivière, le spot d’escalade, la montagne, la mer, au lieu de vivre au départ de chez soi… Va chercher bonheur va… (peut pas jusque sur Mars !)

Un festoch pour l’épanouissement physique et mental, ou votre bloggueur note une augmentation significative de la circulation automobile dans sa ville…

Un festoch ou tout le monde va se donner sportivement pour finir épuiser pendant une semaine, ou monsieur et madame prendront la bagnole (avec la clim) pour aller faire ses courses au supermarché à seulement trois kilomètres…

Un festoch organisé par une volonté politique mentionnant « Le rendez-vous des amoureux de l’Out-door » mais est-ce la Saint Valentin des amoureux en plein air ? Où les amoureux passionnés du licenciement mis à la porte ?

Bref, bon festival à tous, et rappelez vous, « Ce n’est pas parce qu’un pélendron au pupitre ou une demoiselle de bonne famille délivrent des théories conférenciable, que la parole de l’orateur est la seule vérité bonne à entendre. » George Brassens

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