La littérature de la glisse

C’est assez saisissant de trouver autant d’émotions dans la littérature avec des identités différentes… Autant il sera possible de s’épanouir à l’écrit, autant les déceptions jalonnent votre parcours dans le monde de l’édition. La possibilité d’exprimer toute la liberté du free-ride sur une page blanche et sans commune mesure aussi vaste que l’est la pratique elle-même. Puiser dans la richesse du langage est une source de connaissance infinie, vu le plaisir ressenti à cultiver sa propre érudition, cultiver sa souplesse, explorer son environnement, explorer ses réflexions. La boucle est ainsi bouclée, l’histoire est belle ! Certes, il demeure une ombre au tableau, les risques de chutes ? Et bien à l’écrit aussi, être incompris demeure un danger pour cet acte. (Danger inoffensif). Ensuite, je n’ai aucunement la prétention d’être un leader, et même, j’espère sincèrement que bon nombre de free-rideurs feront la même chose que moi, s’emparer de l’écrit pour influer sévèrement sur nos modes de vies, nos manières de penser… Comme la révolution industrielle permis au 19 siècle à tant de théoriciens, romantiques, scientifiques et poètes, de développer la littérature de masse, je crois que la multiplicité des modes de glisse nous offrait cette richesse unique dans l’histoire de l’écrit, prendre le pouvoir, tous, pour évoluer délibérément comme cette discipline l’engendre chez chaque rideur… (texte approximativement datant de l’hiver 2012)

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