Mécanique freedownhill

Les dispositions mécaniques 2024 ayant atteintes des convergences techniques vraisemblablement intuitives, l’ensemble des paramètres d’une Ferrari hypersport ultranumérisées pourrait, comme un télécabine, pourrait rejoindre les ressentis analogiques. A l’usage, le muscle-car T7 New-Holland en campagne agro-industrie, la moto taxi Honda X-adv sous la pluie urbaine, orientent délibérément les rêves à monter un cheval, ski jorring aux Diablerets, nager avec les dauphins, sous les eaux limpides des atolls pacifiques… Quoi de plus techno en 2025 qu’avoir un cheval avec des sabots en pneu pour qu’il puisse galoper sur le goudron relax ? Un harnais d’attache accepté par le dauphin tractant le palonnier du plongeur ? Les chats domestiques de grande taille comme les lions ou les tigres sont aussi sympathiques à vivre au quotidien, ne nécessitant pas de prises de risque accessoire aux vives et intenses émotions. Les univers sont très éloignés, mais les idées sont réunies ; l’objectif est atteignable, dans un futur rêvé. Toujours plus intéressant de pouvoir rider même vieux, plutôt que rouler mécaniser jeune. C’est l’importance transitionnelle du soutien des mécaniques vers la capacité à soutenir les vieillesses, par exemple un déambulateur avec une interface numérique de soutien, avec des matériaux légers et un processeur cinématique.

  • Psy animale
  • Psycho sportive
  • Psychol mécanique utile
  • Psycholo mécanique futile
  • Psycholog agricole
  • Psychologie immobilière

Grosso modo, naturellement utiliser les crandberies pour le sport, et, mieux vaudrait employer les animaux plutôt que les moteurs pour s’amuser. Imaginez en 1800, qu’un usage des machines fût privilégié à la production agricole ou industrielle tandis que les fruits des fruits de cette fruitière fruiticole pouvaient nourrir les sportifs de tout âge, propulsant l’avenir de la société vers une boucle idéaliste d’harmonie entre les êtres humains, les machines, les animaux, encore d’autres machines, et enfin, les végétaux de toute taille. C’est quoi l’idée ? L’antiquité, légende d’Hannibal traversant les Alpes à dos d’éléphant, était un mammouth laineux des steps… Qui remorqua aussi, peut-être, un traineau de fret international chargé d’oranges Marocaines séchées ?

Connection link

Surf sur Internet ? Périmé ? Les multiples bases de données peuvent effectivement compliquer les transmissions d’infos, pour le sport free-ride, free-style. Vous trouverez dans cette pastille vidéo, un témoignage expliquant les liens d’une recherche de financement, d’une multiplication des bases de données, des dilutions de messages, des compréhensions, des vitesses d’acquisition, des études potentielles, des accessibilités, des consciences décrites, d’une structuration… Par le webmaster de ce site, de ce blog. Aussi, certains articles ou vidéos ne sont pas forcément très compréhensibles, ou explicites, il convient naturellement de laisser un commentaire, ou poster un email au management. Les explications seront livrées soit dans un prochain article, soit en réponse commentaire. Ici, Youtube et le compte youkounkounbluediamond sont utilisés en parallèle de ce blog et database, proposant des réflexions futures ou joindre les diffusions passées, avec votre propre connection. Enfin, les personnes ayant soutenu et aidé la réalisation de ces sujets auront peut être une surprise prochainement ! Encore merci à vous…

Energy Cake

Les préparations culinaires classiques pour les gâteaux de type « brownie » demandent les ingrédients suivants :

Farine de blé, miel, lait, Maizena, compote de pomme émulsionnée au lait écrémé, crandberies, un supplément nutritionnel Nutrend pré-work out à L-arginine alfa kétogluturate, sucre de canne, amandes brisés en deux, crème de coco, et gingembre.

Incorporez les ingrédients, mélangez sans laisser de grumeaux, nettoyer le plan de travail en cours de préparation si nécessaire, et ensuite, n’oubliez pas qu’il y a un ingrédient secret !

Cuisson au four traditionnel ou micro onde, avec une ou deux phases d’homogénéisation.

Il s’agit d’un gateau, équilibré dans la pyramide nutritionnelle avec : sucres lents, protéines, et acides gras plutôt insaturés… et oligo-éléments, minéraux, épices… au hasard.

ride free love plural

Avec le sport de glisse, le parallèle amoureux, avec l’idéal de relation, le sliding- plaisir partagé, partout dans nos cœurs peut conduire au mariage, ou à la vocation religieuse. Malgré ou grâce à tous nos voyages. Admiratif et respectueux des unions éternels, inquiet et interrogatif au regard de l’ordre théologique, nos antiquités recherchent la racine de l’Amour pour Sts Valentine et Valentin. Comme à l’aide des skis, des skates, des surfs, l’Histoire des déplacements de l’humain dans la nature, les forêts, les vallées, les rivières à franchir, les montagnes et déserts à traverser, les pièges de la vie, au temps saisonniers, le parcours se réalisa. Stopper par nécessité ou par envie.

Et d’une évidence lointaine, le voyage et la rencontre ; rencontre toujours ce goût de connaissance, ce désir de compréhension, un besoin de partage, la communion, le sexe. La citation suivante d’Albert Malreaux ou André Camuts, « le bonheur est le plus vaste de nos territoires, dénués de frontière peuplé de bonne volonté, patient de sourires, émus de plaisirs, triste d’au revoir, mélancolique de départ, nostalgique de distance, d’amour. » Alors, donc bon, le parallèle moderne de la vie classée X serait aussi cet héritage de l’antiquité ou les personnes voyageant par delà les contrées, territoires et pays, retrouvant l’inconnu ou l’inconnue, pour une relation brève, longue, variable, saisonnière, riche… Le X, l’extrême, deux univers où semble-t-il, une prise de risque, conduise conduite conduisant au plaisir : Quotidien partagé. L’anthropologie des amours historiques ne nous offre que quelques légendes, au confins de la tradition orale de secrets amoureux, souvenirs mythologique sophistiquées… De nos jours, l’Internet et le global free-ride, propose, offre, un multiculturalisme éthnique et culturel, religieux et relationnel, de l’inde à l’angleterre, de l’amérique du sud à l’allemagne, de l’afrique à la belgique, de la suisse à la californie, du japon à l’espagne, la Planete Bleue…

E-skatedrive

La sérendipité, dûe à la volonté de trouver un moyen de rôder, prowler les roues d’inlinerollerskate afin de déglacer le vernis nécessaire à l’obtention de l’adhérence optimale, abouti à la création de l’objet suivant : Le E-skatedrive ! Question de fabrication des roues, le vernis de finition génère une adhérence particulièrement haute, qui rend quasi impossible la glisse à vitesse réduite. La problématique d’usinage sur machine outil, en atelier étant exclue car la capacité de recyclage des usures d’uréthane demande l’identification du bon réseau de collecte. L’option de la modification d’une trottinette, scooter, équipée d’un frein magnétique de recharge des batteries, fut possible à partir de la localisation de la batterie dans le guidon. Le résultat est pratique avec différents aspects d’usage :

Le frein en roller, le guide d’équilibre, la propulsion motorisée, port de bagages, le rôdage des roues, ect… le lien avec le Mottrix, les potentialités sont nombreuses, le parangonnage également. Toutefois, les plans de ce type de projet existent déjà vraisemblablement pour de nombreux bureaux de recherche et développement. La question d’une optimisation avec un plateau amovible, destiné à créer la jonction avec un skateboard remorque est possible. Le schéma viendra ultérieurement sur le site www.e-skatedrive.com et pour plus d’infos sur le sous produit de ce blog lié à la glisse urbaine, contactez le webmaster qui répondra avec plaisir à vos questions. Enfin, le roller électrique étant particulièrement compliqué à construire en raison des emplacements et poids du moteur, des batteries, des commandes, l’adjonction externe du e-skatedrive s’avère un moyen adapté à gérer le roller en déplacement motorisé, comme les frères Galliazzo le faisaient en 2001 à Leysin avec des moteurs 2 temps hérités du karting. Notez également l’aspect interrogatif du site parallèle dans les approches numériques et digitales des réseaux imbriqués les uns aux autres, autour du skate, et free-ride en général, évoquant les relations entre les époques, les protagonistes, les lieux, les techniques, les outils, destinés à skater, optimiser la médecine, et, toujours garantir un max de plaisir !

web searchin’

Alors, les accès à d’innombrables références sur le monde, les bases de données, les possibilités proposées en cohérence avec vos potentialités, sont réelles sur Internet. Une masse, un volume d’information tellement puissant, que tout mensonge restera dramatiquement préjudiciable. Pour le skateboard, la recherche décrite ici en vidéo correspond à une innovation, imaginée grâce à la coïncidence des conceptions et personnalisations d’outils de free-ride. Le recyclage des pièces détachées, la qualité pour la sécurité. La préparation d’un modèle nouveau… La difficulté dans ce terme de « surf » sur Internet demeure très discutable, et pourrait être inadaptée. Seul avec son interface numérique demande une adéquation des informations en votre possession et leur usage en questionnement. Le tourisme numérique, découvrir les pays lointains sur l’écran, le dossiers artistiques sportif de personnalités reconnues dans des disciplines précises, Le Bon Coin ou Ebay, les compagnies internationales proposant des produits neufs, des curriculums-vitae ou des projets administratifs publics ou privés, la mise en relation après échanges concerté et concilié, les compétences médicales en cas d’urgence ? Comme Tinder, « the nurse made headline », traduit sans usage du web par l’infirmière fait les gros titres. Donc, plusieurs webs, plusieurs philosophies, plusieurs cultures, plusieurs pays, plusieurs personnes mais aussi ces étranges réponses de moteurs de recherches qui n’ont pas de cohérence avec votre demande. Lorsque la requête est effectuée sur le net, on ne peut pas en faire une autre. Chaque petite chose après chaque petite chose, comme le disait, monsieur Steve Vai. Ecoute, étudie, lis, analyse, apprend, patiente, répète, interroge, écrit, parle, film, corrige, structure, dessine, communique, traduit, programme, prévoit, diffuse, annonce, informe, et, dans tout cela, la notion de surf n’existe pas. Reste, un humain, capable de l’ensemble des pensées, actions sur le terminale numérique, la pensée est-elle une liberté semblable au surf ? Mais pas l’usage de l’internet. Et si le gars ou la surfeuse disparaît sous l’eau, c’est sans doute à cause de l’alcool, la drogue, ou l’inconscience sous de multiples facettes… Autrement, la pensée n’est absolument pas une glissage en mouvement, mais l’ensemble d’une quantité de savoirs et d’émotions, d’expériences, sur une ligne de temps et d’identité ! Nouées les unes aux autres, c’est assez compliqué et inutile ce topo non ?

chau mar class hic

Le réchauffement climatique et la décroissance de l’énergie solaire… Ce sont deux directions opposées. Comme toute démarche RSE, responsabilité sociétale des entreprises, utiliser un véhicule routier pour de la route doit rester particulièrement rare dans le cadre de glissonomie éthlétique. Alors plusieurs infos dans ce documents, avec renfort vidéo. Comparaison entre le style speed, alternant recherche de vitesse en position quasi foetale, et le freinage en gesticulation acrobatique. Et, le style free-board dont la cohésion reste en mode alpha très mobile, sûre. L’homme de Vitruve ? Prisonnier de son volant, libéré par l’entretien de ses roues. Un carré dans un cercle, l’homme en mouvement, en construction. Dans les deux cas, la destination est atteinte, boxe à l’arrivée du slide. (en cas de chute). Donc, faire preuve de discipline dans la technicité de n’importe quel engin à roulette est indispensable. Rappel routier, le bibi-bob en concurrence avec les trottinettes, réinvente la voiture sans moteur. Un objet hybride, assis, comme la street luge. Sans flexion genoullière, mais l’abdominalisme. Systématique, en commun, l’amorce du freinage, serait slalommée. Décrocher un slide brutal en transition extrême ne concerne pas les pratiquants présents ici en exemple vidéo. D’autres compréhensions à venir toujours sur le blog. Et d’ailleurs, cette langueur douce à à atteindre le glissement est un moment attendu, recherché, préparé, étudié, engagé lors de nombreux free-ride. Reste la question de ce terme Anglais, utiliser sa voiture seul pour rejoindre le spot est préjudiciable en carbone, mais fermer une route pour la sécurité relève d’une complexité logistique avérée. Pour la vitesse ? Les pressés aimeront les casques, les brushings stylés sont aussi décoiffant. Les spécialistes sauront démêler la cinquième saison à venir, entre chaud et froid.

La route oubliée

Il faut bien savoir que les images de rampe peuvent être produites à gogO, attention sans en être Gaga. Toutefois, le propos de ce topo blogguistique réside dans l’absence d’un lieu de rencontre adapté, à l’esprit du free-ride urbain. Ce qui serait, un endroit où nous pourrions manger, boire, siester, soigner la bobologie, concevoir en plan des customs de roller avec des outils de réparation ou d’échange de pièces de long, pratiquer le stretchin’ ou prier pour Shiva Ganèche au chocolat, pas de concert électrique, à peine une Hi-fi, éventuellement ajouter une rampe verticale, au lieu du bowling, avoir un soin de kiné lambda par du monde, le skate-thé et le café-inline ici dans la bonne vieille ville de Besançon France, reste, sous un autre angle, un marronnier des lieux culturels du centre. Beaucoup de petits lieux pour se rencontrer mais pas d’endroit spacieux ou suffisamment grand pour tout le monde. « Petit coucou à madame la maire, madame Vignot, si elle nous regarde… » citation de Muchel Dricker. Le café des rollers ? Le salon de thé des skateurs ? Non, non. Peut être le bar du free-ride ? Stock de roues usées, roulements à graisser, pads à échanger, du grip Jessup, graffismes en thérapie de message à incruster sur le petit cerveau de matière grisée, de la musique, des retours de webcam de la surveillance de la ville pour les spots, sculpture avec des déchets deck-break, bon plan entre stations, villa de van ensablé oublié sur la côte sauvage du boulevard de la plage, achat de roller, un écran géant, des canapés, des technogyms, une machine à coudre, des DVD, du CBD, un DICO, vente de skate, revente en bourse d’occasion permanente, ressources médias, ouvrages internationaux, magazines, livres, posters, cartes d’embarquement aux télésièges du jetski, annuaire des agences d’intérim, et aussi, je le découvre en même temps que vous, ces lignes, avec des piscines artificielles à vagues, et des frigos à neige skiable, il faudrait aussi ce lieu pour le free-ride à vocation Européenne. Ou l’inverse. Bienvenue aux pros et aussi aux mythos. Aujourd’hui, week-end du 17, 18 novembre, se tenait la bourse au ski de Besançon, avec la question dinguote du réchauffement météo dans toutes les contradictions comportementales. Une session wildstrasse « on a wet » est toujours possible pour chaque rollerskateur averti, sans mégalo prendre sa tête pour une ballon de hand ou ralentir la circulation de manière exagérée. Alors, pourquoi pas l’ancien Forum de la grande rue de Besançon ? Vu que la fièvre est à Lausanne… Pas d’hébergement in situ, prévu à cause du boulot, et aussi de la libido, et enfin une autre tradition Bisontine Française, la nuitée chez l’habitant, ou en hôtellerie…

Buskin’ 4 Hawaii

La découverte d’un autre monde, les possibilités infinies d’un renouveau, le voyage… En free-ride, les mouvements du simple geste d’un souhait avec une main tendue, ou un vol intercontinental de 27000 pieds d’altitude vers d’autres hémisphères, sont, la vie en elle même. Bouger, se déplacer, aller et venir, glisser, sur des vagues, des pentes neigeuses, une route, à vélo… Reste à savoir comment vivre dans cette position déterminée à atteindre un objectif. Car nous ne vivons plus dans le jardin d’eden. Il est aujourd’hui quasiment impossible de se déplacer comme dans l’antiquité ou les hommes et les femmes trouvaient de la nourriture offerte par la biodiversité sur un chemin. Les fruits… Du point de vue économique, il n’est pas possible de survivre sans argent pour régler le sandwich et la boisson. Payer l’hôtel, payer le dîner, payer le taxi, payer le fret des bagages, tout cela n’est pas possible lorsque l’on se consacre exclusivement au déplacement de l’agence de voyage : le but à atteindre ! Une destination… retrouver les personnes que l’on aime. Alors, dans cette promesse de surprises toutes plus étonnantes les unes que les autres, la compréhension et l’action dans le quotidien s’avère être une voie inépuisable de collaborations dans le soutien à la vie des temps qui sont les notre. Arriver dans un village, trouver du travail à la plonge d’un restaurant, bosser le truc en équipe, et avancer vers un destin choisi, ensemble, avec vous. Reste derrière soi, après la suite du chemin parcouru, un souvenir de partage et de construction, ou bien, l’absence, le vide, la tristesse et l’oubli. S’arrêter parce que l’on a pas le choix, ou s’arrêter parce que l’on a envie. Continuer sa route parce qu’on a envie, ou parce que l’on a pas le choix. C’est un peu relou ce voyage permanent d’aller nul part, comme l’évoquait mademoiselle Alicia Keys… Let’s go !