E-skatedrive

La sérendipité, dûe à la volonté de trouver un moyen de rôder, prowler les roues d’inlinerollerskate afin de déglacer le vernis nécessaire à l’obtention de l’adhérence optimale, abouti à la création de l’objet suivant : Le E-skatedrive ! Question de fabrication des roues, le vernis de finition génère une adhérence particulièrement haute, qui rend quasi impossible la glisse à vitesse réduite. La problématique d’usinage sur machine outil, en atelier étant exclue car la capacité de recyclage des usures d’uréthane demande l’identification du bon réseau de collecte. L’option de la modification d’une trottinette, scooter, équipée d’un frein magnétique de recharge des batteries, fut possible à partir de la localisation de la batterie dans le guidon. Le résultat est pratique avec différents aspects d’usage :

Le frein en roller, le guide d’équilibre, la propulsion motorisée, port de bagages, le rôdage des roues, ect… le lien avec le Mottrix, les potentialités sont nombreuses, le parangonnage également. Toutefois, les plans de ce type de projet existent déjà vraisemblablement pour de nombreux bureaux de recherche et développement. La question d’une optimisation avec un plateau amovible, destiné à créer la jonction avec un skateboard remorque est possible. Le schéma viendra ultérieurement sur le site www.e-skatedrive.com et pour plus d’infos sur le sous produit de ce blog lié à la glisse urbaine, contactez le webmaster qui répondra avec plaisir à vos questions. Enfin, le roller électrique étant particulièrement compliqué à construire en raison des emplacements et poids du moteur, des batteries, des commandes, l’adjonction externe du e-skatedrive s’avère un moyen adapté à gérer le roller en déplacement motorisé, comme les frères Galliazzo le faisaient en 2001 à Leysin avec des moteurs 2 temps hérités du karting. Notez également l’aspect interrogatif du site parallèle dans les approches numériques et digitales des réseaux imbriqués les uns aux autres, autour du skate, et free-ride en général, évoquant les relations entre les époques, les protagonistes, les lieux, les techniques, les outils, destinés à skater, optimiser la médecine, et, toujours garantir un max de plaisir !

web searchin’

Alors, les accès à d’innombrables références sur le monde, les bases de données, les possibilités proposées en cohérence avec vos potentialités, sont réelles sur Internet. Une masse, un volume d’information tellement puissant, que tout mensonge restera dramatiquement préjudiciable. Pour le skateboard, la recherche décrite ici en vidéo correspond à une innovation, imaginée grâce à la coïncidence des conceptions et personnalisations d’outils de free-ride. Le recyclage des pièces détachées, la qualité pour la sécurité. La préparation d’un modèle nouveau… La difficulté dans ce terme de « surf » sur Internet demeure très discutable, et pourrait être inadaptée. Seul avec son interface numérique demande une adéquation des informations en votre possession et leur usage en questionnement. Le tourisme numérique, découvrir les pays lointains sur l’écran, le dossiers artistiques sportif de personnalités reconnues dans des disciplines précises, Le Bon Coin ou Ebay, les compagnies internationales proposant des produits neufs, des curriculums-vitae ou des projets administratifs publics ou privés, la mise en relation après échanges concerté et concilié, les compétences médicales en cas d’urgence ? Comme Tinder, « the nurse made headline », traduit sans usage du web par l’infirmière fait les gros titres. Donc, plusieurs webs, plusieurs philosophies, plusieurs cultures, plusieurs pays, plusieurs personnes mais aussi ces étranges réponses de moteurs de recherches qui n’ont pas de cohérence avec votre demande. Lorsque la requête est effectuée sur le net, on ne peut pas en faire une autre. Chaque petite chose après chaque petite chose, comme le disait, monsieur Steve Vai. Ecoute, étudie, lis, analyse, apprend, patiente, répète, interroge, écrit, parle, film, corrige, structure, dessine, communique, traduit, programme, prévoit, diffuse, annonce, informe, et, dans tout cela, la notion de surf n’existe pas. Reste, un humain, capable de l’ensemble des pensées, actions sur le terminale numérique, la pensée est-elle une liberté semblable au surf ? Mais pas l’usage de l’internet. Et si le gars ou la surfeuse disparaît sous l’eau, c’est sans doute à cause de l’alcool, la drogue, ou l’inconscience sous de multiples facettes… Autrement, la pensée n’est absolument pas une glissage en mouvement, mais l’ensemble d’une quantité de savoirs et d’émotions, d’expériences, sur une ligne de temps et d’identité ! Nouées les unes aux autres, c’est assez compliqué et inutile ce topo non ?