Ni tourist ni pro

Qu’il est bon de ne pas être prisonnier d’un job de sportif pro… Pas d’objectif de résultat, pas de problème de compétition, la pratique quand on veut, le bonheur quoi… Et en revanche, pratiquer comme un semi-pro, confère des aptitudes athlétique qui sont utiles au quotidien pour une multitude de tâches dédiées au travail, travail fondamental car il permet de garder le contact avec la réalité, et offre ainsi toute la valeur de la glisse comme une récréation… Nampa chantait (traduit) « rider dans la rue tout les jours) c’est une énorme connerie… Rien de tel qu’une session de temps en temps pour garder la forme, avec un entraînement régulier et un job à trois quart de temps… C’est la liberté moderne… A noter le livre de Guillaume Barucq, « surf therapy »…

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